Le personnage de Jules vient apporter un peu de fraîcheur au récit, même s'il a failli cramer l'hôtel 😂 il serait bien du genre à faire quelques bourdes amusantes. Il est vrai que l'attitude d'Ethn ne doit pas être évidente à comprendre pour Lyla, mais pour le coup c'est elle qui est assez sèche avec lui ici.

Au-delà de l’encombrement, les difficultés qu’elle traverse, la cuisine centre de bonnes odeurs, de ce travail de fourmis, minutieux qui est utilisée pour une expérience de cuisson et au milieu de l’agacement tu fais ressortir le souvenir, la tendresse de l’enfance, son attention à cette mère si gentille, une sorte d’attirance pour Jules et ce retour à la réalité de sauver l’hôtel avec l’indispensable restaurant. Mais un cri se fait entendre et là, tout ce que tu as pu dévoiler de potentiels soucis s’effacent en se disant que peut-il lui arriver de pire ? Il est possible que ce ne soit pas grave, mais le côté empirique de ma lecture pense au plus dur plutôt que l’anodin face au reste. Merci de ce chapitre et bonne continuation🌷🌸

Ça chauffe entre Lyla et Jules et dans le sens littéral du terme 😉

coup de pouce. ^^