Oh combien j'adore sa façon de faire des chocolats, j'aurais mis du poivre. Non je blague, mais c'était super à lire, on voit aussi la belle relation avec son papa, même si cela semble tendu, il y a beaucoup d'émotions entre eux, je ressens leur sentiment car ce n'est pas de la colère, le papa est fier et elle, elle a cette même angoisse qui la tenaille, elle se voit comme une marchandise que l'on met en vitrine, alors qu'elle est plus réservée. Je m'imagine bien la tête de son éditeur, et sa fuite pour se retrouver dans un lieu qui la rassure, comme j'ai compris toute cette vitesse dans ce que tu décris et c'est encore un chapitre passé trop vite sous ma lecture, je mets plus à te dire mon ressenti et encore je suis sûre d'en oublier que de te lire😁Bref, j'aime toujours autant suivre cette auteure sensible, merci. Bonne continuation à toi🌸🌺

Tu vas devoir prendre sur toi Cassandra ! L'éditeur abuse avec le chocolat, il joue avec ses nerfs

Fonce Cassandre, tu n'as vraiment rien à perdre et tu peux beaucoup gagner. Zéphyr ne parait pas très sympathique mais ton propre père ne veut vraiment que ton bien. À moins qu'elle n'ait un secret à cacher. Est ce vraiment elle qui a écrit le livre ?

La peur de Cassandre de se mettre en avant, est très prononcée tout de même. Elle ne sent pas légitime, en plus, de son succès. Son père a-t-il raison? A t-elle un peu honte de son milieu social? Ou manque -t-elle de confiance en elle?👀 Ce chapitre pousse à se questionner de plus en plus sur son attitude. Alors que jusqu'à présent, c'était le comportement de son éditeur qui faisait grincer des dents. La phrase du père, lorsqu'il lui demande si elle ne souhaite pas être publiée, est ambiguë. Elle l'est déjà, non?. En tout cas, ce chapitre est bien amené,👍 avec les petits quiproquos, et retournements de situations. La stratégie de la fuite de Cassandre ne peut durer longtemps.🙂

Cela fait quand même bizarre qu'elle soit à la fois si piquante en face à face avec son éditeur et avoir autant peur de rencontrer son public, qui ne peut qu'être à priori bienveillant, ayant adoré sa romance.