C'est étonnant en effet cette histoire d aller enseigner dans le collège berceau de ses souffrances ou est ce un moyen pour elle de les exorciser. Une sorte de thérapie pour soigner le mal par le mal. En tout cas j ai envie de souhaiter beaucoup de courage à ton héroïne mais si elle en a déjà plein même si elle n en n a pas conscience.

En effet, Chloé est très courageuse et, depuis le temps, blindée contre les moqueries. Heureux que tu aimes mon héroïne.

Oh la la! Je trouvais le chapitre précédent dur mais celui-là l’est encore plus! 🥺 Quel épisode traumatisant pour elle, je n’arrive pas à croire que ce genre d’expérience se produise dans nos écoles! J’ai deux adolescentes et je serais anéantie si elles se faisaient intimider de la sorte, ça doit être terrible aussi pour les parents! Je comprends son père d’avoir réagi comme ça, j’en aurais fait autant. Chloé arrive à être forte malgré tout, c’est un modèle de courage ! ♥️

Merci pour Chloé, elle est effectivement très forte et pas seulement physiquement. Ce sont des comportements qui arrivent mais sont rares et j'espère que tes filles y échapperont. Tu verras le prochain chapitre, il sera beaucoup plus léger.

Tu décris très bien ces épisodes de harcèlement scolaire. Avec beaucoup de justesse ! Pour moi qui ait vécu ce genre de choses, ça rend le personnage de Chloé très touchant.

Merci, heureux que tu aies apprécié ce chapitre charnière pour comprendre qui est Chloé et quelles sont ses problématiques.

Ce chapitre est dans la continuité du précédent, les souvenirs scolaires de Chloé sont lourds, et ont encore des conséquences dans sa vie de femme indépendante.// Tu dénonces bien la grossophobie et le sexisme quand il s'agit d'Alexia. Cependant je pense que tu devrais doser ces thématiques au fur et à mesure, en avançant vers la romance. Pour l'instant c'est très TW pour ceux et celles qui vivraient déjà cela au quotidien.

En effet le chapitre pose le problème à résoudre. J'ai mis le TW en connaissance de cause et ce chapitre a provoqué, sur le Discord, une vague de témoignage chez certaines qui avaient vécu des situations de harcèlement, pas forcément grossophobie.

L'envie elle ne l'avait pas mais il lui fallait bien travailler.