Merci Michel. Pas facile en effet de trouver la clé narrative entre introspections plurielles et regard extérieur. Merci pour ton point de vue.
MICHEL DELARCHE
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Il y a 6 ans
par rapport à la remarque de Roseline, ce qui me semble gênant ce n'est pas tant l'usage d'un registre oralisé familier ou vulgaire que le manque d'homogénéité: on oscille entre ce registre et un registre beaucoup plus écrit, ce qui est un problème pour la crédibilité de la voix ainsi construite.
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
;-)
Gabriele VICTOIRE
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Il y a 6 ans
Amen !
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
Merci Roseline pour ces mots d'encouragement et tes critiques constructives.
Rose Lb
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Il y a 6 ans
Je reviens vers vous, pour la lecture que j'avais mise de côté, désolée, il y en a tellement ! D'abord le texte est d'une excellente Fluidité et soulève des questions existentiel comme l'accusation à tord et la peine de mort. C'est très positif. Par contre l'utilisation des propos vulgaires est à proscrire absolument, cela fait tâche dans ton roman et gâché tout à mon humble avis.
Si un écrivain célèbre peut se permettre ce genre d'entorse, nous ne le pouvons pas. Si non continue, c'est très addictif !
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
Merci, merci, la suite réserve encore bien des surprises...
Anziol Kerbat
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Il y a 6 ans
Style complètement différent mais tout aussi intéressant. Ça pourrait être déstabilisant de passer d’une histoire à une autre tant dans le fond que dans la forme (car on change carrément d’écriture là) mais c’est très bien fait et c’est le concept de ta fiction. En tout cas l’histoire de ce mouroir m’intéresse. Je continue (encore et toujours) :)
8 commentaires
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
MICHEL DELARCHE
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Il y a 6 ans
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
Gabriele VICTOIRE
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Il y a 6 ans
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
Rose Lb
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Il y a 6 ans
Sauvage Antoine
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Il y a 6 ans
Anziol Kerbat
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Il y a 6 ans