Fyctia
Chapitre 23 (partie 3)
C’est sorti comme un S.O.S, un cri du cœur. Seulement il n’obéit pas, préférant me goûter davantage. Lorsqu’il se redresse — transpirant — pour se débarrasser de sa chemise, mes iris embrumés de désir se perdent sur son ventre musclé, mais aussi sur sa poitrine qui se meut et m’hypnotise.
— T’es trop sexy…
Un sourire espiègle naît sur ses lèvres et moi je prends conscience de ce qui vient de franchir les miennes. Un compliment ? Mes hormones me font dire n’importe quoi ! Sûr de lui, il détache habilement la boucle de sa ceinture, s’emparant d’un petit carré métallique dans sa poche. Une capote. Pourquoi cela ne m’étonne pas ? Lucky Luck doit toujours être prêt à dégainer…
— Je ne sais pas si je dois me sentir offusquée, Casanova.
Il sourit en se mordillant la lèvre, abaissant son pantalon… et son boxer par la même occasion !
— Il faut pas, c’est un vieux réflexe que j’ai conservé…
Actuellement, je ne trouve rien à répliquer, trop subjuguée par la vue de son énorme bite… OK, c’est dit de façon peu charmante, pourtant c’est la vérité ! Sa queue est stupéfiante, si grosse que je crains pour mon vagin… Monsieur n’était pas assez parfait : en plus de sa fortune et de sa beauté, il lui fallait la baguette qui va avec ! Harry Potter n’a qu’à bien se tenir…
— T’es sûr que… ça rentre ?
Alors qu’il enfile la capote sur son membre tendu à l’extrême, il me lorgne, curieux.
— Je veux dire, mathématiquement parlant… Tu vas me déchirer ! Tu sais, ça arrive plus souvent qu’on ne le pense ! Ça ferait beaucoup de sang pour rien, on dérangerait une ambulance, ça me ferait de la rééducation… et je te raconte même pas la douleur ! Ça te tente pas une pipe ?
Il rit de bon cœur avant de se placer entre mes jambes et d’achever mon monologue d’un baiser torride. OK, je suis convaincue, il peut me faire tout ce qu’il veut ! Je suis à deux doigts de m’arracher les cheveux, je perds les pédales.
— Tu parles trop…
Lorsque je sens son gland contre mon intimité, mon attention se porte sur les traits de son visage ô combien merveilleux. Celui des magazines, des films, ou des pubs… Le mec que tu rêves de voir en train te prendre sauvagement sur la table de ton salon. Sauf que dans mon cas, c’est réel !
Et là, à cet instant, il entre en moi avec une douceur stupéfiante.
Je grimace, il me faut un moment pour m’accoutumer à sa grosseur. Très vite, l’inconfort se transforme en un pied total au fil de ses coups de reins. D’abord lents, ils s’affirment avec énergie. Parallèlement, sa bouche part tantôt à la recherche de la mienne, tantôt à l’assaut de mes seins.
Chaque poussée m’emmène toujours plus inexorablement vers l’extase. Je la devine alors qu’il m’explore, me retourne, m’emplit à m’en écarteler. Ses grognements, son visage crispé, son corps sous lequel je peux voir les muscles s’agiter du fait de l’effort, la transpiration qui perle sur son front…
C’est la vision la plus excitante que j’aurai eue d’Andréa Santini.
Ses mouvements de bassins prennent en vitesse, il me ramone… et putain que c’est bon ! J’avais oublié ce que ça faisait de céder à des pulsions… non, le dernier en date — monsieur Lapin — ne compte pas, j’étais ronde comme une queue de pelle !
De la lave dans les veines, il gonfle, il coule à flots… L’orgasme. Enfin, il explose dans mes entrailles. Face à ma jouissance, Andréa me suit presque aussitôt, n’y tenant plus. Mon corps est alors remué par des convulsions, mon ventre se voit submergé par les fameux papillons et je ne peux retenir un cri sonore. Mes membres sont lourds et en même temps j’ai l’impression de flotter sur un nuage. C’est super étrange et satisfaisant. Je suis comblée. Indéniablement, c’est puissant, ça secoue.
Mon premier orgasme avec un homme, et pas des moindres : avec mon patron.
20 commentaires
Sara Baron
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Il y a 2 ans
junghwa0622ss
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Il y a 4 ans
LucieC.
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Il y a 4 ans
Mymy M. *Sakuramymy*
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Il y a 4 ans
Ashley Moon
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Il y a 4 ans
Adriana_dreux
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Il y a 4 ans
Val Kyria
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Il y a 4 ans
lolitaparisod
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Il y a 4 ans
Emma Hermosa
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Il y a 4 ans
Elfisoren
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Il y a 4 ans