Vu l'état de décrépitude de Matt, son attachement (son besoin?) d'Artus, ce geste fatal était attendu dans la narration. L'un ne peut pas vivre sans l'autre. C'est un peu une part de lui-même qu'il a enterré et surtout sa raison de vivre. Et finalement, c'est un peu le "rock'n'roll", le génie musical qui s'éteint dans sa vieille mort, c'est pas vraiment la norme. C'est plutôt une dernière mise en scène, la dernière note qu'il veut choisir pour sa vie. Je trouve ça osé de finir un roman sur cette touche sombre (même s'il reste quelques parties). Pour le moment " Silence " aurait plutôt dû s'appeler " Pleurs " pour mon paquet de mouchoirs :p.
2 commentaires
Paige
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Il y a 2 ans