J'ai l impression qu'il y a une cassure de rythme dans ce chapitre par rapport aux précédents, comme si on était plus dans l'action ici.
J'ai une interrogation: avec la façon dont Mat devore du regard Artus, celui ci n est jamais gêné,?
Tracy Blue
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Il y a un an
La réponse est dans l'épilogue. Dsl c'est très long ^^'
Eponyme
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Il y a 2 ans
J’aime comment on voit bien ici que Matt n’est pas qu’un excellent musicien, c’est surtout un bon manager, il a tout prévu, et de la suite dans les idées. Il a toute cette énergie et cette bravoure de la jeunesse, mais contrairement à beaucoup, il est capable de la diriger et de ne pas partir dans tous les sens. Si je dois émettre ma première critique : je trouve peut-être Matt un peu too much dans sa réussite. Dans le sens où à son âge il est exceptionnellement intelligent, exceptionnellement doué, exceptionnellement mature, exceptionnellement organisé et articulé dans ses projets… et je trouve que ça commence à faire beaucoup de cases exceptionnelles cochées. Déjà, ça fait vachement self made man, et j’accroche environ zéro à ce fantasme de droite de méritocratie (mais ça à la limite : c’est mon problème, c’est pas une critique objective), mais surtout, à un niveau purement de construction de récit : ça rend paradoxalement la réussite plate, si elle est constante. On a un peu l’impression que Matt n’a pas de challenge, pas de tension, pas d’échec, et du coup, une progression paradoxalement moins flamboyante. Il y a forcément des moments où il se plante, où il est à côté de la plaque, ou tout simplement où la chance n’est pas de son côté. (Mais peut-être lui pendent-ils au nez ?)
Tracy Blue
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Il y a 2 ans
Effectivement. Donc trois choses ; d'abord, Matt vient d'une fanfiction à la base, il n'est pas dans le monde réel, il vit dans un monde fantasmé. Donc sa réussite est "plus facile" dans son monde. Ensuite, il exceptionnel dans plein de domaine parce que c'est le cas. Matt n'est pas une personne "normale" (je n'aime pas ce mot). Je suis assez en accord avec les théories sur la "neurodiversité", sur le fait qu'il y a des tas de gens avec des fonctionnements neurocognitifs différents sans qu'ils soient des "malades mentaux" (comprendre TSA, TDAH, bipolaires, schizophrènes, hypersensibles, borderlines, ou je ne sais quoi d'autre) ou des "surdoués"/HPI truc bidule. Matthieu est truffé de bizarreries, qu'il cache à l'exception de sa mémoire parce qu'il en est fier. Mais c'est juste un "tout", il a un cerveau qui fonctionne différemment et ça se répercute dans plein d'aspects de sa vie. Et pour les difficultés, il finit par en rencontrer une, professionnellement, mais tous les obstacles de sa vie vont être personnels. Parce que j'estime qu'une personne manipulatrice, menteuse et en plus "neurodivergente" pour couronner le tout, ne peut pas avoir une vie perso épanouissante, alors que dans la vie pro c'est un boulevard (il a les dents qui rayent le plancher ce garçon).
Gottesmann Pascal
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Il y a 2 ans
On comprend que la personnalité flamboyante de Jessy puisse énerver Artus autant qu'elle fascine Matt. Quand à son talent, je fais confiance à Matt dont j'ai cru comprendre qu'il se trompe rarement.
Aldevir
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Il y a 2 ans
Ce n'est pas du tout mon style de lecture mais je me laisse vraiment emporter.
13 commentaires
mariecolley
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Il y a un an
Tracy Blue
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Il y a un an
Eponyme
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Il y a 2 ans
Tracy Blue
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Il y a 2 ans
Gottesmann Pascal
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Il y a 2 ans
Aldevir
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Il y a 2 ans