Quelle fin ? Personnellement, j'aime me laisser porter là où l'auteur souhaite m'emmener, me faire surprendre par des rebondissements. Dans ce récit qui commence de manière palpitante, intense, et très thriller, tu glisses ensuite sur les circonstances qui ont amené tes personnages au cœur de cette chasse à l'homme, et ce sans tomber dans le vulgaire. Ce que j'ai apprécié. C'est glauque, c'est horrible, mais après tout, tu ne fais que dénoncer des agissements qui existent réellement, ces filières qui profitent de la misère pour exploiter l'humain, cela se pratique et c'est totalement révoltant. Peut être devrais tu appuyer ce point au fil du récit, insister sur l'étendue de ces réseaux, leurs pouvoirs, leurs ramifications. Au cœur de cette noirceur, il y a des gens qui s'aiment, des couples brisés, d'autres qui résistent. Pour moi, Barbara et Georges font partie de ceux qui lutteront pour leur survie. En lisant les épisodes consacrés à la traque, j'imaginais qu'ils trouveraient la faille dans le dispositif des méchants qu'ils réussissaient à s'enfuir, seraient pourchassés dans la ville et tout ça, pour un autre genre de traque. Une traque où tu ne peux faire confiance à personne, car la trahison peut se cacher en chacun, jusqu'à un dénouement... inattendu. C'est ton histoire, Viktor, à toi de l'écrire et de la vivre... 😉 Bon courage pour la suite 👍☀😀

Je n’ai jamais pensé une seconde que tu avais pu partir « à l’aveugle » sur cette histoire... que je trouve bien construite et qui justement s’ouvre dans une dimension spectacle pour petit à petit révéler les coulisses des personnages. Pour le suite, celui qui peut et doit t’éclairer... c’est toi. Tu as la clef pour ouvrir la prochaine porte. Il faut juste lui mettre la main dessus. Et tu vas trouver ! 👍👍👍

Comme l’a dit Lyaminh c’est ton histoire, à toi de voir. Tu as insisté sur leur histoire, donc ils ne peuvent pas mourir comme ça, tout de suite... je les imagine lutter, pas forcément s’en sortir, même si on l’espère. S’il y a un survivant pour moi ce serait plutôt Georges qui a vu mourir ceux qu’ils aimaient et verrait à nouveau mourir cette femme qui l’accompagne. Un peu comme l’auteur de Au Nom de tous les miens. Je te fais confiance pour la suite ! Allez ! À ton clavier !