Il y a toujours des êtres bons, même dans les peuples les plus noirs. Il y avait une brèche chez Sinael et Mori est "rentrée dedans ". Un peu de douceur enfin dans ce monde de brutes.

Et il y en aura plus sous peu ne crains pas !

J'aime bien la façon dont tu amènes les différentes péripéties, je continue à te lire ce soir au demain.

Je lis ce chapitre et je dois dire que la scène entre les deux femmes est plutôt émouvante même si on ne l’attendait pas si tôt ! Sinael vient d’être gravement blessée et il y a l’urgence pour elles de s’enfuir. Mais c’est quand même très bien décrit et touchant de les voir découvrir les sentiments de l’amour ensemble un peu maladroitement comme tu le dis si bien. On est interpellés à la fin par Mori qui souhaite rencontrer la matriarche : ça me semble très imprudent non ? Vu comment sinael la décrit et si elle règne sur un peuple aussi cruel je vois mal ce qu’elle peut apporter de bien ! Bref on a envie de leur hurler de s’enfuir tant qu’il est encore temps !

S'enfuir est malheureusement assez compliqué considérant que Mori est aveugle dans ce lieu envahi par une noirceur totale. Elles vont devoir bâtir un plan audacieux...

Beau moment de tendresse, on sent bien la pulsion qui est derrière.

En effet, elles ne comprennent rien, je te confirme. L'évolution de leur relation sera assez inhabituelle, tu peux en être certaine !

Bon eh bien voilà autre chose maintenant ! Après la violence on assiste à de l'amour guimauve. Je m'explique : elles sont toutes les deux dans une mauvaise posture et même si elles souffrent moins, elles savent qu'à tout moment la mort peut les prendre. Elles ne se connaissent pas depuis très longtemps... je peux comprendre qu'elles aient eu un coup de foudre mais la rapidité de tout cela me désarçonne quelque peu 😉