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le mystère reste entier ! je sais que je vais lentement, donc si tu ne trouves pas ça ennuyant, ça me rassure beaucoup !

Je comprends que Samuel soit tendu ! Tu ne seras pas étonnée que j'ai trouvé cette séquence avec le médecin légiste particulièrement réaliste XD - bon, me revoilou sinon avec mon retard dantesque de lecture ! Je vais tenter de me mettre à jour.

Tu sais ma passion pour ce qui a trait aux légistes :) ne t’en fais pas, à ton rythme et en fonction de tes envies ♥️ Merci d’être ici en tout cas, et je m’excuse je n’avais pas vu ton petit mot !

Je ne t'ai pas laissé de commentaires par paragraphes, le chapitre était déjà assez chargé comme ça. Pour t'en dire quelque chose sur l'ensemble, c'est toujours de l'épicerie fine de littérature, avec beaucoup de termes originaux, c'est bien construit, l'atmosphère est bien retransmise, je ne veux pas t'encenser pour ne pas passer pour un individu obséquieux, mais ton chapitre, comment dire, tout comme le autres d'ailleurs, ça se lit en silence comme au cinéma, et les incessants commentaires plus ou moins légitimes seraient presque "dérangeant"? Non "agaçants"? Enfin perturbants, non mon esprit me susurre, intrusifs. Ce chapitre comme les précédents, ne se lisent pas, ils se vivent, on a envie de s'immerger, alors là, on peut visualiser le légiste, l'air grotesque avec son appareillage pourtant nécessaire et son air sérieux, trop sérieux? Mais nécessaire aussi, de ce sérieux rébarbatif, gris, austère. La dépouille, posée sur un plateau inox, raidie, avec une chair cireuse ouverte comme une vulgaire pièce de viande de boucherie semblable aux carcasses de bovins ou de ovins. Un vestige de ce qui fut un humain, une gorge marbrée et cette odeur, pas agressive, mais pas très ragoutante, une effluve flottant dans l'air comme dans toute les salles d'autopsie, qui imprègne l'air, les murs et les vêtements jusqu'aux narines, persistantes même après s'en être sortis de ces lieux morbides qui nous ramènent toujours à la réalité, nous allons biens, nous sommes encore en bonne santé, mais que l'on ne s'inquiète surtout pas, un jour, surtout, nous ne manquerons pas de mourir. Tout y est même des relents, "De l'assassin habite le 21" ou de "le mystère de la chambre jaune" c'est bien Mary et dans mon vocabulaire ce n'est pas un terme lancé négligemment ou comme le disaient mes copains des quartiers populaires de Marseille, ça n'a pas était écrit "A la mors moi le nœud" "C'est une tuerie, à mourir debout" je n'ai jamais vraiment compris ces termes, mais ils faisaient partie autrefois des termes populaires de mon quartier. Un copain, un autre, m'aurait dit "Franchement Gémo, c'est bonnard" (Gémo étant mon surnom) ne me demande pas pourquoi Gémo, je n'en sais rien. Mais tous ces gars qui sont sortis avec un CAP ou pas d'ailleurs, mais qui lisaient tout ce qui tombait sous leurs mains, je ne sais pas pourquoi, mais c'est étrange au regard des jeunes "surdiplômés" mais fréquemment sans véritable culture ni goût des livres, oui, c'est étrange. En tous les cas, merci Mary.

C'est drôle, j'ai presque l'impression que tu étais perché sur mon épaule ou sur mon ordi pendant la phase d'écriture. C'est dingue que tu aies pu sentir à ce point l'ambiance que j'ai voulu transmettre. J'étais assez contente de mon légiste, je suis heureuse qu'il t'ai plu à toi aussi. Merci à toi d'être ici, de lire cette histoire, et surtout de partager avec moi ton ressenti qui est de l'or en barre pour moi ! A bientôt Jean Marc, et merci à toi surtout <3

Si les grands esprits se rencontrent, les beaux esprits vivent en symbiose, ailleurs que dans la réalité de tous les jours, quelque part entre nulle part et ce qui a toujours été ou ce qui ne l'a jamais été. C'est là où des esprits éclairés comme nous vont puiser leur inspiration, monde ouvert à une élite, celle qui pense, qui réfléchit, qui créé. Une dimension que la plupart ne connaissent pas ignorent par ignorance ou bêtise ou crétinisme. Ils ne peuvent accéder à ces niveaux là, alors ils ragent et vont chercher l'erreur où il n'y a pas, ils sont sournois, pire mesquins, que veux-tu, il y a ceux qui existent comme toi et moi et qui cherchent toujours à évoluer souvent dans la souffrance, jamais dans la lâcheté et les autres qui n'existent pas vraiment, ils vivent selon un support qui leur sert de corps physique. C'est bon ce que tu écris, c'est la quintessence de ton énergie, de ton bel esprit, c'est lumineux, tu nous éclabousses de ton intelligence, aux plus intelligents d'en profiter, aux imbéciles de se rassir dans leur médiocrité. C'est que du bon Mary, mais comme tous les artistes, tu doutes, et c'est dans la douleur que peut-être tu deviens encore meilleure, tu te démultiplies, tu grandis, ton inspiration s'amplifie! Les cons! Faudrait sans doute en faire un diner, rien que chez Fyctia, on aurait aucun mal pour remplir une grande table. Je reste à tes côtés, n'est pas peur, avance, et un jour tu publieras, c'est certain, et je serais fier de ma consœur ou alter égo? Mince, je crains que l'on ne pense qu'en fait, je me sois envoyé des compliments par ton intermédiaire, mais juré, je ne savais pas que j'allais terminé ainsi. Bonne soirée Mary, et du punch, n'est-ce pas?

Voilà, t'as tout plein de com à lire ^^ Bon, je vais être sérieux deux secondes. J'aime beaucoup ce passage, surtout tous les non-dits. Ceux évidents, comme l'a justement souligné Pascal. Ceux qui le sont moins, comme les répercussions de cet assassinat. Et ceux dans la narration, comme l'injonction systématique de message du ministère à chaque "moments critiques". Je n'ai pas encore saisis ce que cela signifie, néanmoins, ton histoire ne se passe pas dans les lignes mais entre. Et j'aime beaucoup. Dans les lignes on a droit au conséquence, et la cause c'est à nous de la dénicher. C'est pour ça que j'adore les passage avec Eskander (très certainement un gars pas des plus "gentils"). Donc, comme je me dis qu'une autopsie devrait être dans les touchantes, je te rajoute des coeurs ❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️

Merci Anthony, tu sais comme j'aime quand tu es sérieux ! Eskander est le plus dur à écrire pour moi, je suis contente que tu apprécies le fruit de mon travail acharné XD Et j'essaie de contrôler mes envies de "telling" pour vous faire un peu cogiter. Et aussi, merci pour les coeurs (mais je crois que ça marche pas, l'algo est plus intelligent que nous ...).