Cette phrase finale... J'ai trouvé le rythme de ce chapitre très prenant, avec ces phrases nominales qui spatialisent l'action tout en montrant l'entraînement strict et mécanique d'Orietis. Ca va tout à fait avec l'idée qu'il se fait de lui-même : une machine. Jusqu'au moment de doute (le "n'est-ce pas") qui fonctionne à merveille, qui nous laisse espérer qu'il "s'humanisera" (peut-être au contact d'Alexandros ? Il faut bien un peu de romance dans ce monde de brutes). Par contre, j'aurais dit qu'un seul "N'est-ce pas ?" suffit à bien marquer le coup ; deux, ça devient redondant. En tout cas, très bon chapitre ! Merci d'avoir comblé mes besoins en sang (même si ce fut rapide, mécanique et efficace. Tout le contraire de moi quand je fais de la sauce tomate maison.)

Merci beaucoup pour le commentaire <3 Je suis d'accord pour le deuxième "n'est-ce pas", j'hésitais à le garder et je suis toujours pas convaincue, c'est mal partit pour sa gueule ^^" J'avoue qu'en commençant le roman je ne connaissais pas trop le caractère d'Orestis, en dehors du fait qu'il pouvait commettre un meurtre de sang froid. Puis avec sa rencontre avec Protéas je lui ai découvert un petit fond humain caché sous la froideur de son éducation. C'est un axe qui me parait très intéressant à explorer et j'ai hâte qu'Alexandros en sache plus sur son côté "monstrueux" parce que lui aussi, j'ai de grosses inconnues sur ses réactions ! Mais c'est ça qui est cool avec le premier jet : découvrir les personnages et leur évolution ^^

Orestie, c'est un con d'en chier a comprendre les humains quand par ton "métier" tu es en pleins milieu des intrigues des humains...

Il s'est entrainé sur des sangliers, non seulement ils parlaient pas mais en plus ils voulaient le buter, ça aidait !

:D Et avec sa chouette sa doit pas aider non plus x)