Je suis sûre d’une chose en terminant ce chapitre, il ne va rien en ressortir de bon dans les prochains :( je te félicite cependant pour le rythme de ton récit, on est sans cesse ballotter entre ancienne intrigue et nouvelles intrigues, on a pas le temps de s'attarder ou de respirer, on est happé directement et sans qu’on le veuille, obligé de poursuivre inlassablement ! Bravo à toi !

je cherche de nouveau lecteur ou liker pour mon texte, je rends en retour, si tu connais des intéresses...Je tente sait-on jamais !

C'était un peu couru avec le heurt au camp, ce poivrot, il emmène Satinka, je grogne… Et elle reste, je me dis qu'il prétend l'emmener seul plus tard et met au silence les autres aïe aïe aïe...et si Allan réapparaissait, je vois bien le scénario et je me demande si je ne m'y attends pas un peu… Je verrai, en attendant quel beau descriptif des émotions et de la tension mêlée à la peur au ventre des prisonniers affolés par la mort violente des leurs plus que de leur propre mort qu'ils imaginent, enfin que je ressens à la lecture… Merci, je suis revenue sur ton texte et je vois ce chapitre à lire, un bonheur. Bonne suite...