Fyctia
Chapitre 31 Fin des Temps
PDV Adriel
Nous sommes le 21 aout, les treize sont presque écoulé. Tous le monde est dans la salle du Banquet. Tout le monde boit et fait la fête pour la dernière fois. Nous avons échoué. Axia est entre les mains de mon ennemi. Mère doit être déçue de nous. Lance m’a demandé si je comptais descendre leur tenir compagnie une dernière fois. J’ai enlacé m’a sœur et mon père pour la dernière fois, saluer mes amis avant de remonter ici.
C’est la fin du monde et je préfère être ici avec elle. Iso dort dans mon lit, entre mes bras. C’est ainsi que je veux passer mes dernières heures. À ses côtés. Je veux que tu te réveilles ma reine. Je veux vivre ses derniers instants dans ton regard. Je veux assouvir ce que je ressens pour toi depuis le baiser échanger dans cette grotte. Ce baiser qui me hante depuis des mois que tu vis à mes côtés. Je sais que je ne te laisse pas indifférent. À ta façon de rougir, de t’éloigner de moi. Ta façon de réagir a les baisers, a mes caresses. Au temple, j'allais le faire. J’avais besoin de calmer mon égo part rapport à mon ancêtre, mais je voulais te sentir proche de moi plus que tu ne l'es.
Ce n'est pas pour rien que je t’ai emmené dans la crypte. Je veux encore sentir tes lèvres contre les miennes. Je veux que tu ouvres les yeux et que tu me vois réellement. Que tu vois l’homme que je suis. Je veux encore goûter à ta peau. Te sentir trembler de désir quand je la recouvrirais de mes baisers ardents. Te sentir frémir quand je me glisserais en toi. Gémir de plaisir en écho à mes propres gémissements. Ouvre-les yeux Iso je t’en supplie. Je veux profiter du temps qu’il nous reste avec toi. En toi.
PDV Externe
Iso se réveille dans une chambre différente, mais qui ne lui ai pas inconnu, un corps chaud était près d’elle.
• Adriel ?
• Hmm… enfin réveillé trésor.
• Enfin ? Combien de temps
• …
• L’éclipse ?
Adriel se lève en tirant les rideaux, le ciel était sombre la lune recouvrait le soleil. Il était 15 :22 et il faisait aussi sombre qu’à 22 :00.
• C’est la fin des temps. On a échoué.
• Quoi ?
• Personne ne sait où est Ailita ni ma sœur. Elle a toutes les pièces. D’après les calcules de l’équipe l’apogée de la lune est dans quelques heures, à l’aube qui se fera plus jamais soleil, explique Adriel.
• Que font les autres ?
• Rien. Tout le monde profite du temps qui reste
• Tu abandonnes ?
• Non !! Mais qu’est-ce que je peux faire !
• Retrouver Ailita et lui prendre la dague ! Je sais où elle est ! Dit Iso.
• Comment tu peux le savoir ?
• Parce que je rêve de ce moment depuis des mois ! Je sais parfaitement où elle est ! Elle t’attend ! Elle nous attend
• Tu es sûr de toi ?
• Oui ! On doit aller trouver les autres.
Iso essaie de se lever pour sortir du lit, mais Adriel l’empoigne, elle retombe mollement sur dessus. Il est au-dessus d’elle.
• Que fais-tu ?
• Je veux passer les dernières heures avec toi.
• On n'a pas le temps faut.
• Non Iso. Je veux passer ce moment avec toi. Je ne sais pas si ce que j’éprouve pour toi est bien réel. Si c’est le lien qui nous pousse comme des aimants, attiré l’un vers l’autre. Je m’en fiche. Je veux croire au-delà de tout ça.
• Adriel…
• Je veux passer les derniers instants avec toi. S’il s’agit bien là de la fin. Je veux être ici.
• Moi aussi, mais j’ai peur.
• Ne le sois pas. Je serais tendre… en tout cas je le serais au début.
Ils s’embrassent avidement. Fougueusement. Possessivement. Cette fois pas question d’arrêter. Adriel lui retire son t-shirt embrasse sa poitrine. Il avait encore son goût sur sa langue. Il descend plus bas pour déchirer sa dernière barrière en tissus avant d’y plonger sa tête. Elle se cambre en gémissant son plaisir qu’elle ne boude pas. Elle tire sur ses cheveux. Il n’a aucune intention de s’arrêter.
Adriel se redresse nu comme un vers entre les jambes tremblantes de son amante après l’avoir fait jouir à plusieurs reprises avec ses doigts et sa langue. Il se rapproche à genou. Plaçant son sexe suintant de sa semence pour elle. Elle le sent à son entré. Il s’y frotte, lui envoyant des décharges puissantes.
• Viens.
Adriel plonge en elle. Lentement et fermement. Elle ferme les yeux à la douleur qui ne sera que passagère. Adriel caresse sa boule de plaisir, il fait des petits mouvements pour la combler et la remplir.
• Adriel, gémit-elle.
• Tu es si chaude. Argh…
Il pousse encore un peu brisant sa chasteté. Il continue pour la remplir totalement jusqu’à la garde. Il ne bouge pas. Il pulse en elle. Il pose sa main sur ventre sous son nombril légèrement arrondi de sa présence.
• Ça va ?
• Oui… Adriel.
• Que désires-tu ?
• Que tu me donnes toit.
• Tout ?
• Je veux tout de toi.
• Tu auras tout de moi alors.
Il sort lentement son sexe de son entré chaud et humaine avant d’y replonger. Encore et encore. Le rythme change. Elle aime cela. Il sera inacceptable pour lui de s’arrêter.
• Bon sang tu es si…
• Tu en perds tes mots ? Tu- Hah !
• Toi aussi trésor.
Iso jouit en premier. Adriel la suit de près.
• Tu…
• Je ?
• Tu me remplis… ça m’inonde.
• Oh tu sais comment flatter mon ego trésor.
• Adriel.
• Encore.
• Quoi ?
• Encore.
Il quitte son écrin de velours pour la retourner à genou sur les draps. Il la pénètre vigoureusement la position donne une cadence différente et elle aimait cela. Il lui tenait fermement les hanches allant et venant en elle. Plus vite, plus profondément. Cette fois, il vient en premier. Elle s’effondre les genoux tremblaient sous son plaisir.
Mais Adriel n’en avait pas encore fini. Elle se retourne lentement sur le dos. Adriel se place entre ses cuisses pour la posséder encore une fois. Elle se cambre rejetant la tête en arrière. Adriel se colle le plus à son corps. Il mordille sa nuque, aspirant sa peau, déposant des baisers sur sa gorge. Ses mouvements sont lents et profond.
• Ooh Adriel. Je…
• Promet- le moi Iso… de rester à mes côtés.
• Je… te le promets.
Adriel ne parlait pas uniquement de la bataille. Il pensait à l’avenir. Iso était perdu dans les méandres du plaisir. Elle le regardait dans les yeux, il grognait son bon plaisir. Elle voit maintenant l’entièreté de sa vision. Lui et elle au lit, sous une lueur orangés. Pas une lampe, mais la couleur du ciel.
• Pardonne-moi… Je ne pourrais tenir ma promesse.
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