Alors.... je ne sais pas si tu as lu mon LONG mail mais ce chapitre illustre parfaitement ce que je dis sur la proportion entre description et émotion (oui, je m'auto alimente maintenant). Le décor est super bien décrit, on visualise et c'est top mais cela prend trop le pas sur le ressenti de Lucille. En vrai, il suffirait d'ajouter " j'adorerais faire la même chose pour mon mariage... est-ce que le bouquet est vraiment un signe ? Est-ce que Simon pourrait être le bon ? C'est vrai que.... est ainsi de suite sur les doutes et les sentiments mitigés de Lucille" et honnêtement on zappe le répétitif discours des parents . On torche en deux phrases comme quoi ils sont invités à table et hop place à la romance autour du gaspacho

Je valide. Trop de descriptions! cela ralentit l'intrigue. En fait tu pointes chaque détail des lieux, mais la psychologie de tes personnages n'est pas aussi travaillée; Et les parents sont trop dans l'excès dans l'expression de leur sentiment, de leurs discours, de leurs bons mots.// sur 400 pages cela peut paraitre beaucoup trop pour des lecteurs/lectrices!. Cela fait m'as-tu-vu à la longue.

Sur les parents, honnêtement, les discours à rallonge nuisent à l'intrigue. Sur ce chapitre précis, ce qui est frustrant c'est qu'entre la description du début très détaillé et le long discours des parents, le lecteur est frustré parce que ce qu'il attend, c'est de voir ce que Lucille pense/ressent. Il faut vraiment plus pousser la psychologie des personnages, je suis entièrement d'accord avec Christelle. ET elle doit être différente pour chacun et stable dans le temps ( Lucille ne peut pas devenir brusquement timide et introvertie alors que tu nous montres l'inverse depuis le début de l'histoire)// Là on veut savoir ce que ressent Lucille ! Le reste, c'est juste un décor