C'est bien que la mère résiste et très bien le fait que ce soit sa maison familiale. Par contre, je maintiens, elle est bien trop consciente de la situation et le fait qu'elle dise sa culpabilité interdit de résoudre un conflit intérieur. Là, dans la relation mère fille, on a l'impression que finalement, il n'y a pas de problème, juste de légers contretemps. Sur la relation avec Alaric, j'aime beaucoup ton image de la route effondrée, il faut que tu travailles cette idée pour mettre du piment dans leur relation. Voici également les questions qu'on se pose en tant que lecteur : - A-t-elle fuit seulement parce qu'elle craignait son père ? ou avait-elle peur d'autre chose ? (notamment de reproduire ce qu'a fait sa mère) - Donnait-il des signes qu'il pouvait être comme son père ?

Comment reconstruire une route qui s'est effondrée? Très bonne question.

Il n’y a plus d’obstacles désormais, le chemin peut reprendre...