C'est marrant comme le don juan devient possessif !
Jo Mack
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Il y a 2 ans
Un don juan décroché de son siège et capturé.
Jo Mack
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Il y a 4 ans
Jane, as-tu déjà eu affaire aux personnes appartenant à une culture fermée? moi, j'en côtoie tous les jours dans mon travail et autour de moi (et ici en France). Des jeunes femmes qui vivent avec leurs parents jusqu'à 25 ans au moins parce qu'elles ne sont pas mariées et ne sont autorisées à vivre seules, d'autres veulent avoir un enfant malgré qu'elles approchent la quarantaine, mais ne peuvent pas sans être mariées , sinon c'est la honte de la famille (j'ai même un projet d'écriture dans ce sens). Il y a des rebelles, mais dans certaines familles, c'est très dur! Je viens d'une culture étrangère et même certains dans mon environnement ne peuvent pas agir sans l'avale de leurs familles, d'autres se rebellent. Et à 18 huit ont n'est pas forcément majeure dans certains pays comme le Gabon, Algérie, Japon, Cameroun, etc. En Érythrée, 18 ans a été l'âge pour justifier l'enrôlement des filles comme des garçons et les mariages précoces. Pourtant, au niveau des familles, une fille peut être mariée plus jeune, mais n'est pas libre tant qu'elle ne l'est, etc. Ce n'est pas facile pour certaines jeunes femmes malgré qu'elle vivent dans des pays libres comme la France.
Jane Moody
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Il y a 4 ans
Elle doit négocier quoi avec sa mère ? Elle va la mettre à la porte si elle n'obéit pas ?
Jo Mack
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Il y a 4 ans
Sa mère est intraitable, mais la jeune femme a plus d'un tour dans son sac.
Jane Moody
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Il y a 4 ans
Oui mais je trouve ça étrange qu'elle obéisse comme ça à son âge, vu ce qui est décrit de sa famille, je ne pense pas que sa mère la renierait et la jetterait dehors si elle avait un copain.
Jo Mack
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Il y a 4 ans
Jane, as-tu déjà eu affaire aux personnes appartenant à une culture fermée? moi, j'en côtoie tous les jours dans mon travail et autour de moi (et ici en France). Des jeunes femmes qui vivent avec leurs parents jusqu'à 25 ans au moins parce qu'elles ne sont pas mariées et ne sont autorisées à vivre seules, d'autres veulent avoir un enfant malgré qu'elles approchent la quarantaine, mais ne peuvent pas sans être mariées , sinon c'est la honte de la famille (j'ai même un projet d'écriture dans ce sens). Il y a des rebelles, mais dans certaines familles, c'est très dur! Je viens d'une culture étrangère et même certains dans mon environnement ne peuvent pas agir sans l'avale de leurs familles, d'autres se rebellent. Et à 18 huit ont n'est pas forcément majeure dans certains pays comme le Gabon, Algérie, Japon, Cameroun, etc. En Érythrée, 18 ans a été l'âge pour justifier l'enrôlement des filles comme des garçons et les mariages précoces. Pourtant, au niveau des familles, une fille peut être mariée plus jeune, mais n'est pas libre tant qu'elle ne l'est, etc. Ce n'est pas facile pour certaines jeunes femmes malgré qu'elle vivent dans des pays libres comme la France.
Jane Moody
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Il y a 4 ans
Alors oui j'ai fréquenté toutes ces cultures là, de près, vu que la ville d'où je viens est extrèmement mixée, je connais bien les cultures algérienne, gabonnaise, camourounaise ainsi que d'un tas d'autres pays d'Afrique, j'ai d'ailleurs été invitée à pas mal de mariages, dont celui d'un ami qui avait déjà plus de dix femmes dans son pays et 32 enfants, je suis sortie avec un gabonais et un malien ainsi que pas mal d'algériens mon meilleur ami était marocain... je travaillais entre autres dans la cohésion urbaine et sociale. Bref je ne vais pas raconter ma vie ou celle des gens que je connais, ça prendrait 1000 pages et pusi ça me fait penser aux gens qui se justifient en disant "j'ai un ami noir...". D'où mon interrogation parce que justement là je ne reconnais rien de ce que je connais, dans les familles que j'ai fréquenté soit les filles étaient effectivement maltraitées et ne risquaient pas de sortir seules même en journée sans "chaperon", elles auraient été reniées et chassées de la maison si elles avaient enfrein une règle, on ne les aurait pas autorisées à faire une école d'ingénieur (réservé aux garçons), j'ai même accueillie la soeur d'un ami quelques temps parce qu'elle a refusé tout ça, je l'ai aidé à entreprendre des études, trouver un petit boulot, un logement... Tout ça étant tout de même extrèmement rare parmis les familles d'origine africaine installées en France quoique les médias en disent. Les petits frères de ces filles là étaient bien moins respectueux et gentil, les traitant déjà comme ils voient les hommes traiter les femmes et étant de vrais petits rois pour leur mère. A l'opposé, les familles que je fréquentais étaient gentilles, très proches les uns des autres comme ce que tu décris, et même si les parents n'étaient pas d'accord, les filles faisaient ce qu'elles voulaient sans se préoccuper de leur opinion. Par contre elles se respectaient beaucoup et aucune ne seraient allée jouer les stripteaseuses. C'est à cause de tout ça que je vois une incohérence dans ton histoire, soit elle a peur que sa mère la mette dehors parce qu'elle est tyranique, soit elle respecte les valeurs de sa mère et dans ce cas jamais elle ne se retrouverait à danser dans un club, elle ne fréquenterait pas un homme non plus ou de loin sans lui permettre de la toucher. J'ai un soucis avec la psychologie du personnage pour rentrer dans l'histoire en fait. Je te le signale parce que si je ressens ça, il se pourrait que ça touche d'autres lecteurs.
Jo Mack
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Il y a 4 ans
Jane, merci pour ton opinion que je respecte. Toutefois, j'aimerai préciser une chose: je ne critique ni ne rabaisse le métier de stripteaseuse qui est loin d'être de la prostitution. Je connais des personnes pour qui c'est un métier comme un autre et qui se respectent. Mon personne masculin, Raphaêl n'aime pas les stripteaseuses, mais ça ne l'empêche d'en avoir dans sa collection et c'est l'opinion que je lui confère. Mon personnage féminin, Senait n'est pas une fille qui ne se respecte pas parce qu'elle voudrait s'essayer à la Pole Dance ou sortir avec son footballeur préféré ou encore fréquenter les clubs huppés. Sa sœur ainée (seulement citée dans l'histoire) et elle ont décidé de se rebeller contre leur mère qu'elle trouve trop rigide dans ses règles. Et je peux te dire que mon personnage féminin n'est pas l'extrémité que j'ai rencontrée. ça ne veut pas dire que toutes les jeunes femmes qui viennent de ces cultures rigides marchent droit pour y faire face, etc. Leurs situations peuvent faire l'objet d'une très longue discussion. Pour l'instant, dans ce sens, ta remarque est la première, mais merci de me le faire savoir.
Jane Moody
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Il y a 4 ans
On n'a pas la même notion du respect de soi. ;) Pour ma part, ce qu'elles font, particulièrement sa soeur qui a fait une sextape, ce n'est pas de la rebellion, c'est de l'autodesctruction. Au passage, à partir du moment où tu gagnes de l'argent en excitant d'autres personnes (hommes ou femmes) c'est de la prostitution, il n'y a pas forcément besoin que les personnes se touchent. J'ai une connaissance qui dirige une boite de "téléphone rose" ces employées sont bien des prostituées légales. Je n'ai rien contre, chacun ses choix, pour moi c'est un métier comme un autre mais je n'aime pas que les personnes n'assument pas ce qu'elles font. Puis comme tu le dis il y a toujours une profonde souffrance chez les personnes qui se lancent dans ce type d'activités, les encourage à continuer de la masquer ne les aide pas. Mais bon, en revenant lire tout ça j'ai réalisé que ma gène vient plus de l'effet que me font les personnages, je la trouve très enfantine et j'ai l'impression de voir une enfant séduite par un homme adulte, ça me met mal à l'aise. Je suis ton histoire quand même, c'est bien écrit, c'est agréable à lire, ça change un peu des personnages des autres stories, simplement je ne suis pas certaine que tu obtiennes l'effet que tu recherches.
25 commentaires
FleurDelatour
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Il y a 2 ans
Jo Mack
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Il y a 2 ans
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Il y a 4 ans
Jane Moody
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Il y a 4 ans
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Jane Moody
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Il y a 4 ans