Très beau ce chapitre. Très doux et en même temps doté d’une portée symbolique très forte. En plus, on a un instant fan-service des plus sympathiques, on ne va pas se plaindre. Par contre, à force de vouloir sauver tout le monde, il risque de ne parvenir à mener aucune mission à bien. Ali, c’est la priorité, le gros doss confié par la Déesse et la raison pour laquelle il se réincarne, j’imagine. Mais Manfred ? Ok, c’est son cousin, ils ont eu toute une enfance dramatique ensemble, et Meir n’arrive pas à se résoudre à juste l’abandonner. Mais à trop vouloir ménager la chèvre et le chou, j’ai bien peur qu’il se crame les ailes (oui, je case Icare dans les légendes arthuriennes, c’est un talent). Bon, maintenant je vais m’empresser de cliquer pour lire la suite parce que je veux savoir si Ali va le rejoindre dans la fontaine malgré sa robe blanche (oui, s’il te plait, dis oui !)

Belle tension dans ce chapitre !

mais la pauvre, elle doit se dire "mais c'est quoi ce bordel" XD

J'aime beaucoup l'ambiance féerique de ce chapitre !