Encore une fois, on entre avec une belle facilité dans l’univers que tu nous proposes. Il y a vraiment une qualité d’écriture et surtout de construction du récit, parce qu’en un seul chapitre minuscule tu arrives à nous faire prendre connaissance d’une quantités impressionnantes de paramètres : ta protagoniste, sa situation familiale et son enjeu, son métier, qui nous ouvre à nouveau la porte d’un monde où on retrouve des thèmes qu’on devinait déjà présents dans Ila Nostra : la robotisation et les IA qui encadrent les rapports humains, et une société très régentée socialement (eugéniste, elle aussi ? À voir)