Méga violent. Sauf que tu ne prends pas le temps de décrire la terreur qui détermine l'ambiance "externe", et que du coup, le lecteur n'a pas la balance. On a l'impression que ton personnage, bien qu'on comprenne qu'il a basculé dans une folie meurtrière, ne voit pas les retours de son entourage; c'est juste carnassier, mais je pense que ça manque de reliefs. On voudrait entendre les autres une dernière fois, et penser que peut-être, pour faire monter la pression et jouer la carte du suspens, il est encore possible d'éviter le massacre, avant qu'il ait lieu malgré tout. Parce que, tout comme lui, il y a d'autres innocents dans la pièce, d'autres ignorés dans leur coin, d'autres opprimés comme lui.