Bravo pour ce chapitre qui met l'accent sur la tolérance 👍 Et Aurore qui rougit 😜

Il est bien mon prêtre. Un saint homme. Quand à Aurore, son petit cœur commence à battre.

Lol, les mythiques Don Camillo et Peppone.

J'ai un peu de mal à situer le maire sur ce coup-là, il semble avoir des valeurs humanistes qu'il n'applique pas vraiment parce qu'il est réticent pour donner une seconde chance à Benoit. Le maire s'en va sur la fin sans qu'on sache trop quelle est sa décision. Par ailleurs, étant donné la gravité de la situation, Tino essaye de détendre l'atmosphère en chantant, mais c'est peut-être un peu en décalage avec le sujet dont ils discutent - je ne sais pas trop - je donne mon impression première, même si on peut voir leur complicité à travers cette scène.

Le maire pense à ses électeurs et se dit que, si la rumeur enfle, il ne pourra rien faire pour Benoit. Puisque ce sont les vieilles dames de l'église qui ont signé la pétition, on peut compter sur le prêtre pour tirer les choses au clair lors du sermon du dimanche. Tino chante surtout parce que c'est cocasse, pour lui, de bien s'entendre avec un prêtre. Il a plutôt tendance à ne pas les aimer. Mais c'est vrai que ça détend l'atmosphère.

Ça avance pour les deux futurs tourtereaux

Oui. Ça avance même bien.

Je ne peux m’empêcher de sourire sur la prestation vocale de Tino, la réponse sur une vibration chantante et les références musicale, ça détend l’espace et le sérieux du fond de l’histoire tout en ajoutant la pincée sentiment avec la façon pudique dont Aurore en parle et les sous-entendus sur Benoît avec un reflet d'une mélancolie à consoler dans le "broie du noir" et en même temps peut être, l'équilibre d'Aurore. Tous les éléments sont là pour donner une belle suite dans les prochains chapitres. Toujours une lecture suivie fluide et l’attente se savoir comment va se dérouler la suite. Bonne continuation à toi.😉🌺

Merci beaucoup pour ce beau commentaire. Je suis heureux que mes lecteurs/lectrices s'attachent à mes personnages comme je me suis attaché à eux