J'aime beaucoup les messages d'écologie et de respect de la nature que tu transmets dans ce chapitre. Profiter de ton histoire pour amener le lecteur à s'interroger sur son passage sur cette belle planète et sur la trace qu'il laisse est très bien pensé. Et rappeler qu'on peut tout à fait chasser et tuer un animal sans tomber dans le massacre gratuit ou inutile aussi. Ces instants de communion avec la nature m'ont fait beaucoup de bien et m'ont fait penser au film Avatar, que j'aime énormément pour les valeurs qu'il possède et partage. Je trouve que tes descriptions, tes discours sur la nature s'en rapprochent. Et c'est très beau à lire :)

Merci beaucoup pour ce retour. J'ai réussi ce que je voulais faire avec ce chapitre j'ai l'impression ^^ J'en profite aussi pour mettre en place des choses pour les Tomes à venir (encore faut-il que je me motive à finir celui là) Par contre je n'ai jamais vu Avatar mais si ça t'a permis de te rappeler des souvenirs, je dis pari doublement réussi ^^

Oui complètement! Aaaah trop bien! Ça va être chouette de découvrir la suite ☺ Tu n'as jamais vu Avatar? Eh bien si un jour tu en as l'occasion, je te le conseille. C'est un très beau film

Quand Enzo a annoncé vouloir manger du sanglier, j'ai cru qu'il s'était pris pour Obélix 😀😀😀 Dans ce chapitre, j'aime bien la moralité de cette partie de chasse : ne pas prendre la vie d'un animal qui a des petits non viables, ne pas profiter du fait que l'animal soit coincé pour le tuer ainsi... Moi je dis que même le lapin ne vaut pas d'être mangé 😜 Je suis de l'avis de Enzo, c'était plus simple pour lui de voler sa bouffe 😃😃😃

J'avoue que le sanglier est une référence à Obélix ^^ Malheureusement pour le lapin, son avenir risque d'être raccourci. Il faut bien qu'ils finissent par se nourrir.

Cette vision noble et pure dela communion entre l'homme et la Terre est vraiment bien décrite. Or, je saisis le cri intérieur du pauvre Enzo qui rêve de combler sa faim ! Le coup de la chèvre était la goutte de trop pour moi, j'avais envie de me rouler par terre de rire en imaginant la bouche béante du jeune garçon en voyant la chèvre détaler au loin. Dans ce chapitre, tu as placé une note d'ironie qui me plaît vraiment beaucoup. Cette histoire entre Nanno et Enzo est magnifique et je n'imagine pas qu'elle l'anbandonnera à son sort. Rien ne les empêche de se suivrent puiqu'il est dans le secret de toutes façons...

Eh oui, j'ai voulu leur donner un petit moment de répit pour préparer ce qui arrive (ils sont dans leur petit paradis à eux). J'espère bien avoir renforcé leurs liens car la suite risque de tout bouleverser.

J'ai peur pour la suite alors...