beaucoup d'imagination et de réflexion dans ce chapître. Cela m'intrigue.

Pour l'instant je n'ai trop rien à dire, ton histoire se lit tranquillement, les longueurs du début ainsi que la densité ne sont plus autant perceptibles. Ton texte est de plus en plus aéré, Edgard est un personnage intéressant et l'univers que tu as créé aussi. Pour mon goût personnel et uniquement personnel, ça manque de description des paysages et des bâtiment mais je n'ai pas tout lu encore peut-être que ça va venir ^^

J'en prends bonne note, merci !

attention , le discours "indigeste" est destine à un ou plusieurs personnages, pas au lecteur. Il faut trouver une astuce (focalisation, par exemple) pour mettre ton lecteur de ton côté, en le rendant complice

D'accord, merci pour le conseil !

Omg ce dernier monologue fut un casse-tête à comprendre. J’espère qu’il n’y avait aucun information importante à l’intérieur car c’était assez indigeste à lire x) Je trouve intéressant la manière dont les philosophes sont vus ici, en totale opposition à ce qu’on avait dit à Edgard. Maintenant c’est à lui de choisir qui il préfère croire/suivre

Il n'y avait en effet rien d'important à comprendre, les infos viennent dans le dernier chapitre posté :)

L'enchaînement de tes actions est un peu brusque, ça serait cool de fluidifier ce qu'il se passe. Par exemple, le paragraphe "la veille" et "à la fin de la journée" se suivent, non ? On est toujours au passé je pensé vu qu'il saute de son lit au debut, c'est pas très clair. Surtout que l'on reprend ensuite : "Le lendemain matin, nous disions donc, Edgard sauta de son lit". Ca serait plus simple de tout mettre dans l'ordre : la veille et aujourd'hui ^^ Sur la dernière tirade, peut-être que Edgard pourrait répondre à un moment donné, pour avoir une tirade moins longue :)

Je retiens ton conseil pour la construction du début du chapitre ! Pour la dernière tirade, en revanche, c'est fait pour être long, peu compréhensible et indigeste, donc je crains qu'en la raccourcissant, je réduise l'effet.