Mona_Hale LUNA Chapitre 17

Chapitre 17

LUNA


Quinze jours viennent de ce passer et Thiago et moi n’avons toujours pas parler de ce qu’il c’est passer dans son bureau, mais je suis officiellement son bras droit et pour cela Sebastian et Adrian ont décidés de fêter mon nouveau grade dans le même club où Thiago m’a emmener pour son rendez-vous d’argent avec le oompa-loompa.


– Qu’est ce que tu cherches comme ça ? Ta danseuse ?


La bouche de Thiago est pratiquement coller à mon oreille, il poursuit sans me laisser répondre.


– Tu repense à notre conversation, de sa tête que tu voudrais entre tes cuisses ou peut être de ma-


– Tu ferais mieux de t’occuper de ce qu’il te regarde Otero. Je pensais aux nombres de verre que je devrais m’enfiler ce soir pour oublier ta présence.


Je presse le pas et rejoins Adrian et Sebastian devant le club, ont trouvent notre coin privatiser et commandons quatre verres. Les verres s’enchaînent vite et la table en est bientôt remplit, Thiago et moi sommes certainement les plus sobres du groupe mais pas assez pour pouvoir conduire. Le mafieux se penche vers moi et parle par dessus la musique.


– J’appelle Alvaro et Matteo pour venir les chercher, on part dans pas longtemps.


J’hoche la tête et le préviens que je vais aux toilettes. Je descends les escaliers, contourne la scène et avance vers les toilettes, en ressortant je contourne à nouveau la scène, mais il y a quelque chose qui ne va pas, comme une impression d’être suivi, je fais un détour et m’arrête au bar, commande un jus de pomme et appel Thiago.


– Je crois que j’ai un problème.


– Je sais, je t’observe depuis que tu es sorti des toilettes. Tu es suivis.


– J’en étais sûre, je remonte ? Où sont les gars ?


– Alvaro est déjà passé, ils sont partis. Il ne reste plus que nous.


– Tu reconnais ceux qui me suivent ?


– Tu sais déjà de qui ils viennent.


– Dario…


– Passe par la porte arrière et rejoins moi à l’extérieur, ils s’approchent trop près de toi mon ange.


Je lève les yeux vers le balcon où il se trouve et il m’adresse un sourire en coin suivi d’un clin d’œil, ensuite il disparaît dans la pénombre du club.


Je quitte le bar sur mes gardes et avance vers la porte de sortie de secours, j’aperçois Thiago plus loin et accours vers lui. Je soupir, soulager et prononce le souffle légèrement saccader.


– Je crois que j’ai dessoûlée entièrement.


– Ravi de l’entendre, parce que Dario encercle le club.


Je le regarde abasourdi.


– J’ai pas pris mon flingue. Dis moi que tu as le tient.


Il grimace et répond.


– Tout est dans la bagnole.


– Eh bah allons à la voiture avant qu’ils ne sortent du clubs par là !


– Je vais y aller, reste là je te récupère et on fou le camp.


Avant même que je ne refuse il part. Je souffle et croise les bras pour éviter que l’air frais ne passe sous ma robe. Comme si ça aller fonctionner. J’attends un long moment en faisant les cents pas, mais il n’arrive toujours pas ; la porte derrière moi s’ouvre brusquement et je recule d’un pas. Deux hommes se tiennent face à moi, l’un armer d’un couteau, l’autre d’un semi automatique. Ils me fixe l’air ravi.


– Enfin on te trouve, c’est que tu nous a fait tourner en rond pendant cinq minutes, le patron n’était pas très content.


Je regarde la rue par où Thiago est partit mais ne le vois toujours pas. Les hommes avancent dans ma direction et je recule vers la sortie de la ruelle, mais l’homme au couteau cours vers moi et essaye de me planter, je réagis trop tard à cause de l’alcool qui coule encore dans mon sang et sa lame m’ouvre le bras. Je gémis et compresse la plaie avec ma main, ensuite tout va très vite, deux coups de feu et les deux hommes sont au sol. Mort. Thiago me hurle de monter en voiture, je le rejoins maladroitement et à peine je suis assise qu’il démarre et fonce, je m’attache et demande.


– On va où ?


– Loin.


Il observe mon bras et demande.


– Ça va aller ?


– On verra bien.


Nous quittons la ville et roulons vers les côtes.


– Qu’est ce qu’on va faire là bas ?


– Un hélico nous y attend. On va en Amérique mon ange.


Et nous l’avons fait, on a quitter l’Espagne sans prévenir personne, avons voler jusqu’en Amérique et rouler jusqu'au fin fond du Nevada. Nous sommes arriver près d’une maison isoler au environ des cinq heures du matin.


– Le Nevada, sérieusement ?! Pourquoi pas New York, Los Angeles ou le Mexique ?


– Parce qu’on ce planque et que toutes les villes que tu viens de citer, sont diriger par des cartels. Surtout au Mexique.


Je soupire et le suis dans une petite maison au milieu de nul part.


– C’est petit. Tu m’as habituer à plus de luxe.


– Arrête de te plaindre.


– Pour ça, il faudrait que tu me trouve un médecin. J’ai mal au bras.


Il ne répond pas mais lance déjà l’appel avec un nouveau téléphone. Il s’éloigne et j’en profite pour visiter, j’ouvre la première porte et tombe sur une chambre, j’ouvre toute les autres portes mais ne trouve pas la seconde chambre. Je retourne dans le salon/cuisine et demande à Thiago.


– Il n’y a qu’une seule chambre ?


Il grimace et m’explique.


– C’est une planque que j’ai faite faire peu de temps après la mort de mon père, jamais je n’aurais penser m’y rendre avec quelqu’un d’autre, encore moins une femme qui refuse de coucher avec moi.


Je lève les yeux au ciel, exaspérer. Il continue.


– Mais ne t’en fais pas. Je prendrais le canapé.


Je regarde le dit objet et fronce les sourcils.


– Tu as vu à quoi il ressemble. On dirait un canapé trouver dans une décharge. On peut partager le lit, tant que tu ne me saute pas dessus.


Il s’esclaffe et me reprend.


– C’est plutôt toi, qui va devoir te retenir de me sauter dessus.


Je ricane et lui demande.


– Alors ce médecin ?


– Il ne va pas tarder à arriver. Une fois qu’il est partit on part faire quelques courses.


Le médecin est vite arriver et ma soigner rapidement, selon lui, j’ai faillis perdre mon bras, Thiago dit qu’il en fait trop. Une fois le médecin partit nous avons pris la voiture et sommes allez à la ville la plus proche. À une heure de route en plein désert. Je m’endors dans la voiture et laisse Thiago gérer le trajet. Il me réveille une fois arriver et me passe une grosse liasse de billet.

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