Hors-Série jean-simon brisebois Lokita

Lokita

LOkita chapitre 1 L’enfance volée Elle marchait nuit et jour toujours le cœur à la main écorché à vif, le sourire muet de ses cinq ans. Dans lesquels elle vivait à chaque jour des cauchemars éveillés, subissant les abus sexuel de son père qui aurait été supposé la protégé. Profitant de sa jeunesse la fessant vieillir bien avant l’âge à peine 5 ans et devais déjà vivre dans un monde charnel et cruel. Abandonnant son jeune corps et sa chair le vendant à l’enchère des pédophiles environnant. Son enfance volée jetée en un coup de dé que les anges avaient truqué l’étalonnant dans des jeux incestueux. Dès sa tendre enfance ne l’appelais plus par son ont la surnomma Lokita cette petite fille qu’on dévoile qu’on oublie la couchant sur le lit de l’amertume et de l’ennuie. Si elle aurait une histoire à raconter ce ne serait pas la sienne elle ne peut néanmoins l’anesthésier de sa jeune mémoire Son innocence lui fut enlever des quelle commença à marcher ne lui laissant qu’un ours en peluche come confident pour la consolé après qu’on en ait abusé seul ami à qui elle pouvait conter sa triste histoire. Aucun prince charmant ne venait la délivrer du haut de sa tour ou elle était épier le soir elle pleurait à chaudes l’armes en silences étouffé par les remords petite fille devenu trop vite adulte n’ayant point eut la chance de vivre sa vie d’enfant. Lors des soirs brutaux ou la tourmente était au rendez-vous le silence seul spectateur de ce drame meurtri qui l’anéantira à jamais. Sa vision de l’homme un monstre qui la dévore de l’intérieur tel une décadence de chair vivante, ses prédateur ne volant qu’allégé leurs fuel d’hormone de liqueur séminale selon elle tous des minables. Lors des assauts du à leurs libido son cœur laisser en mille morceaux se rappelle encore la devise du Québec qui es je me souviens comment l’oublier quand elle est né pour une bouché de pain et que son père aurait dû l’aimer la protéger il a au contraire tout fait pour quelle le déteste n’as qu’animé sa détresse. Tel un père manquant que le bureau appel aucun temps de plaisance juste des moments de souffrance lui donnant le rôle d’être Une adulte malgré qu’elle n’était qu’une enfant. Il aurait du être son héros triomphant n’est pourtant qu’une rayure de l’encre tacheté de sang dans le livre de son histoire. Elle se rappel vaguement si non nullement des premiers rivages de sa mère lorsqu’elle était en floraison qu’il la battait sévèrement quand elle n’était pas l’épouse qu’il désirait par moment et quand elle ne prenait partis lors de ses attouchements. Même lorsqu’elle n’était qu’une embryions ce pauvre jouisseur la malmenait très sévèrement l’attaquant de coups portant ne se soutient point de l’enfant qu’elle portait dans son vendre fièrement. Ne l’ayant jamais désiré il en avait fait son jouets préféré elle était sans doute sa petite fée qu’il brisait pour ce soulager se défoulé. Vite elle apis dans la vie a manipulé pour survivre aux démons qui lui avaient inculqué, la main ensanglantée marqué sur le corps des victimes qu’il gardait fièrement comme trophée Malgré sa tristesse elle a su ravaler avec le temps les douleurs qu’il lui a transmis. Se fermant les yeux à chaque crime odieux espérant que cela ne dure pas longtemps, fin de l’enfance les crimes de jouissance auront laissé lourde sentence.

Message final de jean-simon brisebois

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