Agathe Pearl L'Herboriste 3 jours de mutisme

3 jours de mutisme

Tu as aimé ce chapitre ?

40

40 commentaires

OoLockedGirloO

-

Il y a 8 mois

Aux petits soins, je dirais flippant oui

Michelle Guéneau

-

Il y a 8 mois

Rhooooooooooo décidément ce policier est vraiment aux petits soins.... c'est le moins qu'il puisse faire après ce qu'il lui a laissé découvrir, mais tout de même 🤔

Gaïane MILLER

-

Il y a 9 mois

Ramenée

Gaïane MILLER

-

Il y a 9 mois

Gardée

Gaïane MILLER

-

Il y a 9 mois

Emmenée

Gaïane MILLER

-

Il y a 9 mois

Prends

Tricotine

-

Il y a 9 mois

Un sacré choc là pauvre

Anne-Charlotte Raymond

-

Il y a 9 mois

Il est séduisant, au moins, ce lieutenant ? Pour se trémousser nue sous son peignoir devant lui ;-)

Agathe Pearl

-

Il y a 9 mois

Elle n'a plus toute sa tête après le découverte du corps

Enisseo

-

Il y a 9 mois

(bien vu le lien entre les corbeaux évoqués dans le chap précédent et celui-ci, très cinématographique) // Bien préciser dans le chapitre précédent les points de détails qui ne font pas penser au suicide parce que moi j'avais l'impression qu'il s'était pendu, mais Angélique a l'air convaincue que ce n'est pas le cas. Ou alors si ça y ressemble trop dans ce que tu te figures, la narratrice ne PEUT pas croire au suicide, tourne le truc dans sa tête et du coup entre dans un état de paranoïa où elle pense qu'on veut la tuer aussi (et peut-être que finalement, elle a raison — on a déjà supposé qu'elle était douée pour repérer les détails ;)). // Super de faire le lien entre le début où elle dit qu'elle est investie dans sa boutique et là où elle ne peut pas, ça renforce le choc. // Je tique un peu sur le fait qu'elle prend sa douche alors qu'il y a la police derrière sa porte, et que malgré cela elle ne prend pas le temps de s'habiller. Peut-être peut-elle avoir juste pris sa douche (pour se rafraîchir les idées, pour penser à autre chose, pour évacuer l'odeur du corps de son ami dont elle a l'impression que sa peau est imprégnée...), et en sortant elle entend le cliquetis : cela créé un point de tension, car on a une femme dans une situation "vulnérable" (nue, au sortir de la douche). Elle peut s'inquiéter, demander qui est là, puis seulement après un temps, être soulagée que ça soit la police, puis sitôt après s'inquiéter ("mais qu'est ce que j'ai fait ??"), puis se dépêcher de se sécher et enfiler un habit pour ouvrir. // Pour moi l'élément qui donne envie de continuer, c'est le fait qu'elle l'ait appelé Robin. Je te suggère de finir là-dessus : « [...] vous ai ramenée ici, et vous m'avez tendu ce trousseau de clé. Je suis venu hier, mais vous dormiez. — Ah. — Aussi, vous m'avez appelé "Robin". »