Jean-Marc-Nicolas.G Lettres à Éva C'était avant-hier.

C'était avant-hier.

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16 commentaires

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Le retour de Bonaventure, ah ! il se mouille pas dans les explications, Martha et son amour si fort, ces femmes toutes avec l'envie de voir dans ses paroles qu'elles boivent le bon. Aïe🥵

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Il les ménage le petit Bonaventure l'homme extraverti habituellement et tout en retenue cette fois-si

chocotean

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Il y a 4 ans

Intense, je me répète. Il me tarde de lire tes livres, de vrais livres en entier. Je prendrais des grands moments de solitude, pour mieux pénétrer l'histoire, et suivre les chemins que tu sais si bien décrire. Franchement, tu te démarques sans aucun doute de beaucoup de monde sur ce site. Troisième fois que je suis tes aventures, et je ne m'en lasse pas. Tu progresses à chaque fois. Je ne peux que te redire ce que je te disais avec la dame aux ronces : n'abandonne pas!

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Je t'ai promis que tu aurais un jour des nouvelles de moi, comme j'avais promis de continuer d’éditer cette histoire au delà du concours qu'importe le reste. Mais il y a beaucoup de travail de correction et tu en sais quelque chose, je dois juste le soumettre à un bon correcteur ou correctrice, après l'avoir lu et relu inlassablement car j'y ramasse une quantité de fautes incroyables d’inattention, en plus d'être relue par une amie qui m'interpelle sur des fautes de syntaxe. Bien entendu, je lui ai fais remarqué que les hommes d'autrefois tel que Bonaventure ou Bartoli ne doivent pas s'exprimer d'un français correct sinon cela manque de crédibilité et encore je fais des efforts pour les rendre le plus parfaitement lisible si je puis dire, ils devraient avaler les mots, ne pas prononcer les "R" de Novembre par exemple etc. Mais je dois relire et relire, sais-tu que j'en suis à la huitième relecture d'Elisabeth. Je ne suis toujours pas satisfait, je remplace des adjectifs, j'ajoute des phrases entières pour appuyer sur la scène si je puis dire. Il faut dire qu'à l'époque, il fallait écrire vite pour éditer vite puisque c'était un concours. Depuis tout a été affiné, complété, restructuré pour certaines phrases, la couverture sera prête en Septembre, tu vois, je n'ai plus trop de temps pour achever ce texte que j'aime beaucoup. A l'époque, je n'ai pas souhaité écrire une histoire banale de sorcière mais celle d'une jeune fille tourmentée qui ne veut pas acceptée la mort, et qui ne comprend pas ce qui lui arrive. C'est sa propre colère et le désir ardent de venger ceux qu'elle a aimée qui l'isole dans sa propre réalité, elle s'est recluse toute seule, mais pourtant elle est encore capable d'aimer. C'est le paradoxe des humains, capables du meilleur comme du pire. Mais je désespérais de ne te voir arriver, et Dieu seul sait comme je t'ai attendu, je sais ça ne se dit pas, mais d'ici peu, mon histoire va s'achever et nous ne savons pas si un autre concours, enfin j’espère.