😁😂🤣Tout va bien, ne t’inquiètes pas,je reçois en tout état de cause l'annonce des mesages sur les chapitres spécifiques. Il est vrais que parfois on doit avoir envie de relire le précédent pour avoir une vue d'ensemble que Fyctia ne permet pas d'avoir à cause de la limite des 7000 caractères par chapitre. Sur ce récit d'origine, ses chapitres représentent approximativement deux chapitres de Fyctia, Etc'est un casse-tête de trouver la zone où il va falloir que je les découpe. Pour tes partiels, c'est pas mauvais, en entendant Juin-Juillet, tu pourra te détendre et penser à autre chose. Par exemple, Hali pourra demander à sa maman quel est le dernier ouvrage intéressant à lire dans le domaine historique. 😁😉Non, je te charrie.Aujourd'hui, ici, chez moi, magnifique soleil et chants des oiseaux. Bon chocolat chaud et à bientôt.

La lettre est là et le pire arrive, mais il est pris en urgence et finalement sauvé, les prouesses d'un corps médical que l'on peut saluer...l'histoire continue, je suis toujours touchée par cet homme qui veut avoir des liens si humain avec son environnement...Je suis en retard en lecture et je plonge de suite avec un si grand plaisir toujours couvert de ma sensibilité à vif dans ton histoire si humaine et bourrée d'émotions. Merci pour cela. Je continue ma lecture et me jette avec avidité sur le prochain chapitre.

Oui c'est un passage difficile de la vie de cet homme mais ça s'arrangera

"ce qui me fait peur c’est que j’ai tant respiré l’odeur de la poudre que peut être serais-je indiffèrent aux odeurs des champs", une manière profonde de dire la peur du retour à la vie civile... mais avant cela, il semble qu'il ait encore pas mal d'épreuves à traverser - pour sa peine, mais pour notre plaisir de lecture !

Oui tu as raison, c'est tout à fait cela. Moi qui connais la suite, bien évidement, je peux te confirmer que la suite est costaud enfin je veux dire pas piqué aux hannetons. Original car en me relisant avec donc le recul, je m'aperçois que c'est tout de même pertinent. Je m'amuse à écrire pour cela, pour jouer dans la cour des relations humaines avec leur complexité. Oui il y a ces odeurs de plantes sauvages qui remontent vers nos narines que je sentais déjà lorsque j'étais enfant à la campagne en Haute Marne ou à Bars dans le Vaucluse. Et puis ces odeurs de platanes dans la cour de l'école de Sévignet,( école religieuse des sœurs, on ne rit pas) couloirs sombres et vestes pendues sur le mur dans le couloir qui dessert les classes. Le cham à l’arrière où nous jouions à colin-maillard (on ne ris pas) avec cette odeur de pissenlit, et d'herbes sèches même en temps de pluie, Provence oblige! Et pour la petite histoire, au mois de Février je fais quelques ourses dans cet ancien quartier d'ou je ne vis plus depuis plus de 40 ans et j'entends une dame dans cette boulangerie parler de cette école qui existe toujours. J'interviens et lui parle de l'école et des photos prises, tu sais les photos de classes que malheureusement je n'ai pas pu avoir lorsque j'étais petit. Elle me dit qu'elle s'occupe de l'archivage et qu'elle en a des centaines. Je lui parle d'une sœur qui jouait admirablement bien du piano car elle me prenais avec elle pour que sagement en dehors des heures de classes je l'écoutais religieusement. Eh bien elle est toujours vivante! Elle a 94 ans et se porte comme un charme. Tu crois pas que non? Bon je suis bavard, pardon, je pars, bon appétit en famille.

c'est magnifique ce "hasard" dont tu parles dans la réponse...

Mais si tes commentaires me font toujours plaisir, ne te préoccupe pas de ce que les autres m’écrivent, dis-moi juste ce que tu as ressentis sur le chapitre. Pour moi ton commentaire est autant important que les autres. Mais bon j'ai compris que tu as aimé c'est l'essentiel.

Encore un chapitre magnifique. Je sais que commentaires sont inutiles mais je n ai rien d autee a te dire juste que c est magnifique #lecommentairequinesertarien