Jean-Marc-Nicolas.G Lettres à Éva Un homme est passé.

Un homme est passé.

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11 commentaires

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Ah non non non, c'est quoi ce départ vers pfiou sais pas trop, Elisabeth est chez moi, y a personne qui doit aller voir d'Emery, je comprends pas moi et voilà que je fais de la grimaçouille🤭 avec l'autre qui a un nez un œil et à la fin je prend mon torchon (eh oui je fais pas dans les petits moyen maintenant avec toi😂) et le pire pour moi est à venir maintenant que je vois là où tu m'entraînes, on est en plein mélo🤣je te tarabuste, c'est génial et ce grand militaire qui est là tout ému et presque gêné de le faire parce qu'il a un grand coeur et beaucoup souffert, c'est super triste et heureux un peu comme quand tu souris et tu pleures en même temps 😝En avant je chausse les lorgnons🤓je garde mon torchon et j'attends la suite😱

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Mais les lorgnons c'est mignon. Ça fait sérieux pour une Hali qui plaisante souvent de son lit! Et oui que cette histoire est tour à tour triste et belle, j'ai peur de dire "joyeuse" ne déconnons pas tout de même.Elisabeth ne me parle plus, je vois tout au plus une petite ramification de ronce et d'aubépine, mais petite, fugace, timide.Alors oui, il a un grand coeur, en mon avis c'est inversement proportionnel avec les souffrances que l'on vit dans notre existence ou bien une nature , car chez des personnes il y a cette forme d'empathie naturelle oui naturelle.😎🙄😳🤪J'ai mis des lunettes pour ne pas que l'on voit mes yeux fatigués d'avoir écrit cette nuit jusqu'à 5 heure du matin mais pas bu, non jamais, enfin non, pas jamais, parfois avec des amis mais là, tout seul juste fatigue.

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Tu fais encore un choix sur les ressentis, les tortures et les choix de l'homme au sens large en développant la sensibilité de chacun. J'aime comme tu l'écris ce côté où dans un hôpital ils ont avec eux un constat résilient de ce qu'ils ont vécu, avec un compte rendu très réels sans rêve d'un ailleurs meilleur juste vivre l'instant présent en parler et dire ce qu'ils voient dans cette partie de la souffrance que l'on ose dire mais dans cette configuration le soldat est désinhiber, probablement sous l'effet de morphine et des choses lui apparaissent là où la cohérence ne verrait que folie post-guerre. Après ce commandant qui s'investie du tâche de cœur comme pour palier dans une amende honorable à ce qu'il n'a pu empêcher sur le terrain. C'est un choix difficile qu'en plus tu fais bien ressentir à son niveau dont la décision l'emporte voyant un signe dans les mots du soldat. Un très fin chapitre qui est comme je les aime dans ce qu'il y a à comprendre dans le non écrit, le ressenti, la sensibilité du lecteur. Merci infiniment de ce nouveau chapitre, une bonne continuation à toi et bravo pour ce beau travail sur l'émotionnel de tes personnes, ces braves, ces courageux, tant côté soldat que pour Eva.👏😉😊

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Il y a parfois des moments curieux dans la vie, une situation, un ressentit quelque chose d’indéfinissablement, à la frontière du réel, du palpable, et du flou, de l’évanescent, c'est visible, mais en même temps c'est irréel. Du moins irréel dans le sens "pas courant, pas banal, pas explicable" ça nous dépasse, mais nous l'avons vu, nous l'avons entendu, quelque fois ça a été furtif, une brève apparition. Brève mais tout de même on a bien vu ou entendu? C'est troublant, on tente même de mettre de côté cette forte et furtive vision, on veux même l'oublier, on été fatigué, on manquait de sommeil, peut-être même que l'on doit être un peu schizophrène. Oui c'est cela, on se convainc que c'était une hallucination.Et pourtant, c'est là, dans notre esprit, parce que tout simplement on l'a vu ou et entendu. C'est juste troublant et on devra vivre avec.

Helen Mary Sands

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Il y a 4 ans

après le passage plus léger avec Valérie, on est replongé dans une ambiance un peu surnaturelle, qui dédouble la réalité... c'est très fort !

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Bonjour Helen, tu sais en fait je me suis dis lorsque j'ai eu envie d'écrire ce récit comment ce serait comporté un homme dans ce cas, encore que j'ai retiré le récit des crapules car à l'armée c'est comme dans la vie, c'est une micro-société. Je n'ai pas fais la guerre certe, mais j'ai effectué mon service militaire et ce n'était pas triste, si tu savais?

Cyril L

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Il y a 4 ans

Il m'intrigue cet homme inconnu, tu en fait déjà référence veillant près du corps... Il me tarde la suite.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Ahahah, il est qui ce monsieur, peut -etre le fruit de l’imagination de cet adjudant?

Cyril L

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Il y a 4 ans

Je ni crois pas trop puisque deux personne différente l'on aperçu...

Cyril L

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Il y a 4 ans

Il y a pas une petite erreur ?