"depuis que je te connais, je n’ai vu de toi que pessimisme et voilà que maintenant tu es optimiste"... un éclair d'optimisme pour mieux retomber dans les ténèbres ?
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Pour s'éclairer dans les ténebres de peur de se perdre, de peur de nous perdre tous.
Raëlfar
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Il y a 5 ans
Je cherchais un mot pour résumer cette histoire et je l'ai trouvé : authentique. C'est ce qui fait que j'enchaîne les chapitres, happée par la lecture, par un texte criant de réalisme. Il n'y a même pas besoin de cliffhanger à la fin de chaque chapitre, on est plongé au coeur des combats et je me répète mais ça prend aux tripes. Bref merci !
kleo
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Il y a 5 ans
Je me répète au fil des chapitres mais je ne trouve rien d autre à te dire. Tu écris cette histoire à la perfection. C est criant de vérité. Les mots sont justes et tu décris si bien les scènes qu on s y croit. Encore Bravo
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Merci, merci et merci, tu es un Amour.Je ne trouve rien à redire, tu es un Amour.
Cyril L
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Il y a 5 ans
Je suis à jour des chapitres en retard. Tu maîtrise bien le sujet, on le ressent dans chaque chapitre. Un texte qui sors des tripes. Pour avoir habité dans la Marne et donc visiter le secteur, comme le fort de la pompelle, ou Verdun et avoir eu l'occasion de voir les traces laissé par cette guerre, je me projecte avec encore plus de facilité, mais sans ça il serait aussi aisé de ce croire avec ces hommes. Bravo.
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Merci mais je suis allé me changer les idées chez Oya, vas y voir, il y a un écrivain qui ne manque pas d'humour, c'est très plaisant, avec Galet, celle là, on ne me l'avais jamais faite😀😁😂🤣🤣😃😆
Sand Canavaggia
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Il y a 5 ans
Tout est con, un sacré titre qui reflète bien la vie d'où ils sont...Par contre je la trouve belle aussi de ce qui pourrait paraître terrible et se révèle presque étrange, ce Bonin pessimiste qui dévoile dans le pire moment une attitude lucide, à l'écoute des sons et les interprète avec ce qu'il semble être une justesse presque positive, c'est peut-être drôle mais je trouve cela touchant et fort dans tous les sens et ces lettres de poilus comme je t'en ai déjà cité, une me revient en tête pour ce que ton texte me donne comme impression le 18 avril 1916 au centre payen Alfred René Faille disait "« Il vous arrive avec un sifflement lugubre comme un lourd oiseau de proie, semblant choisir sa victime, se balançant dans l’air, et tout d’un coup s’abattant brusquement. Il parait que le jour on peut les suivre dans leur trajectoire, et c’est cela je crois qui doit affoler le plus…» (…)"...J'ai exactement cette sensation en ayant relu tes trois derniers chapitres très éprouvant mais qui est d'un grand réalisme d'où ma raison de te mettre ce que disait ce sergent qui ressemble tellement à ton écrit pour te démontrer la grande crédibilité que tu donnes par ton texte quand comme moi on aime ces carnets de poilus, le meilleur rendu d'une guerre face aux incohérences politiques, selon moi. Bonne continuation, merci de ce partage👏😉
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Ton message est touchant, Sand, et la lettre d'Alfred René Faille est bien réelle celle ci, l'est tout autant, oui je connais assez bien cette époque, beaucoup de lectures, beaucoup de documentaires cinématographiques, j'en suis assez bien imprégné et puis je suis allé à Verdun et c'était spécial, irréel, particulier comme tous ces lieux où ont eux lieu une batailles. Les politiciens décident de faire la guerre, les militaires l'organisent et nous les personnes du peuple et bien nous la faisons.
23 commentaires
Helen Mary Sands
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Il y a 5 ans
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Raëlfar
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Il y a 5 ans
kleo
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Il y a 5 ans
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Cyril L
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Il y a 5 ans
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Sand Canavaggia
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Il y a 5 ans
Jean-Marc-Nicolas.G
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Il y a 5 ans
Helen Mary Sands
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Il y a 5 ans