Là encore, le rythme soutenu du récit se perd.
Que dirais-tu de :
"Je savais que cette journée allait être compliquée : mon réveil qui fait la grasse matinée, mon café qui s'invente teinturier de mes chemises, mon fournisseur qui prend son temps...
Je soupire, le numéro du transporteur dans la main."
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
l'apporter 😉
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Un peu familier, selon moi.
J'aurais mis, par exemple "... deux qu'il reporte sa livraison"
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
superfétatoire, à mon avis
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
verbe mal choisi ? J'aurais dit "poursuit son énumération" par exemple 😉
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
puisqu'il n'y a que 2 stations, où est le problème à ce que personne ne lui propose une place.
J'ai le sentiment qu'il s'agit d'un homme, donc il n'est pas enceint.
Est-il handicapé ?
Si tel est le cas, il manque, à mon sens, un éclaircissement à apporter au lecteur très vite. Sinon, ce passage me semble inutile, contraire au ton très direct (et plaisant) que tu as choisi.
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Le récit part à toute vitesse !
Le ton est dynamique, on ressent totalement l'urgence, liée à la panne de réveil.
Et puis surgit cette phrase. On comprend la réfléxion décalée, l'humour de situation... Mais elle alourdit le propos, créant une déséquilibre qui rompt la mise en ambiance que tu avais remarquablement initiée 😊
11 commentaires
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
Jérôme VAUQUELIN
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Il y a 3 mois
chris_anae
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Il y a 3 mois