Je suis de plus en plus intrigué par ton récit. Le scénario m'apparaît accrocheur. Je reste séduit par les éléments historiques semés ici où là. C'est un peu comme joindre l'utile à l'agréable. Je trouve que ça passe mieux quand ils servent le récit (par exemple, les infos sur les marécages aident à se représenter la nature hostile dans laquelle évolue tes victime). J'ai eu du mal par ailleurs à comprendre pourquoi les gardes voulaient laisser le corps exposé. Je pense que c'était pour attirer et neutraliser les loups. Ça me paraît un peu barbare, les forces de l'ordre pratiquaient-elles vraiment de la sorte au 17ieme sciecle ? La description de l'état du cadavre est bien construite. En miroir, je pense que s'attarder sur les sentiments générés par cette découverte auprès des protagonistes augmenterait la sensation d'immersion.

Cette description me fait penser aux victimes de Joseph Vacher, tueur en série malade mental au XIXeme siècle. Il attaquait ses victimes au hasard dans les campagnes, s'en prenant aux enfants et aux jeunes filles qui sont des cibles faciles. Il mutilait les corps à un tel point qu'on a pensé plusieurs fois à des attaques d'animaux.

Description horrible

Oh…