J'ai terminé de lire les 15 parties demandées, mais je risque de revenir lire la suite. Comme je l'avais déjà dit, c'est typiquement le genre de romans que j'aime. Je n'ai pas noté énormément de choses sur la forme de l'histoire, il y a quelques répétitions, fautes et oubli de virgules, mais rien de dramatique — sauf peut-être les incises qui se suivent par 3 ou 4 et le fait que tu répète beaucoup de fois le prénom de tes personnages même lorsque ce n'est pas utile, ce qui coupe la fluidité du récit. Les descriptions sont très biens, j'aurais préféré en voir plus sur le ressenti de tes personnages dans certaines scènes clés (notamment celle où Stéphane se fait courser par Lou ou encore la cérémonie qui a suivi). Aussi, pour les non Parisiens, cela pourrait être intéressant de prendre un petit moment pour présenter la Sorbonne et Paris (comme tu indiques souvent les positions géographiques). En tant que Montréalaise, j'ai été perdue

Pour le fond, je n'ai pas grand-chose à dire non plus. En fait, il y a deux éléments qui me chifonnent. Le premier concerne tes personnages : il y en a beaucoup et, pour le moment, il y en a seulement 2 (trois a la limite si on compte André) qui sont parfaitement développés : Pétronille et Sébastien. Hassen et Elaïa sont mis de côté, ce que je trouve assez dommage. D'ailleurs, petit point sur cette dernière, tu nous dis au début qu'elle est version "pire" que P

Une version pire que Pétronille, donc plus énergétique, pourtant ce n'est pas le cas. Elle m'a paru très calme, timide même, et assez vulnérable. Concernant Andréa, le seul détail qui m'échappe, c'est sa relation avec la disparue. Il s'évertue à la décrire comme une amie face à la police, mais c'était sa petite amie, et il finit même par le dire lui-même avant d'insister à nouveau que c'était une amie. C'est assez déroutant, mais je commence à me demander si ce n'est pas pour une autre raison bien précise (serait-il homosexuel et dans le déni ?). Comme deuxième point qui me chipote, c'est la transition des scènes. Parfois, les actions des chapitres sont assez floues et il est difficile de suivre. Les actions se passent quelques fois trop vite et le lecteur décroche – s'attarder un peu pourrait régler ce souci. Dans le chapitre 12, par exemple, la transition entre la réalisation de Pétronille que ce n'est en réalité pas un rêve et le flashback était très brutal, surtout à cause de la fin du chapitre 11 qui, comme c'est une chute, laisse présager qu'on aura la suite dès qu'on tourne la page.

Bonjour Sarah, Merci d'être venue me lire et pour tes encouragements. Pour l'instant ce texte est en première phase d'écriture et du coup tes retours me sont très précieux, d'autant que sur certains points tu rejoins des retours qui m'ont été faits et qui me donnent de très bonnes pistes de réécriture, notamment pour la Sorbonne et Paris. Sur les personnages, merci de ton retour également. Trois des personnages sont principaux : Pétronille, Andréa et Stéphane. C'est très difficile en roman de développer cinq personnages principaux en parallèle comme le font les séries télés. Par contre, je vais effectivement donner plus de corps à Hassen et Elaïa. J'avais besoin de développer l'histoire pour davantage prendre la mesure de leur potentiel. Pour Andréa, je crois que tu as bien cerné le personnage, merci de me faire ce retour. Je prends note de ta remarque sur le flou des scènes. Je vais effectivement les retravailler. Un grand merci, je vais également continuer de lire ton texte en espérant lire une version finalisée en roman.

Mauvais prénom

En fait, non, mais je ne comprends pas. Elle parle de quel message ?

Eh bah, peut-être que le policier avait vu juste en fin de compte