J'ai trouvé qu'il y avait de l'excès par moment, genre "regarde, le pire instant du monde ! Oh, encore un, t'as vu ?" où je sens l'auteur derrière qui en met une couche épaisse pour faire fort sans doser. Comme un enfant qui surcharge son gateau de bonbons sur la ganache car il adore ça et après on en mange des bouchées hyper sucrées. Et du coup, je profite moins du dessert, je me sens moins dans une façon "naturelle" de vivre les choses. Ce moment-ci, par exemple : "Le mystérieux homme reçoit comme un choc électrique en son cœur ; une douleur vient percer ses muscles face aux terribles souvenirs qui lui reviennent..... Daërinn déglutit, la tristesse venant subitement serrer sa gorge et pincer son cœur dans un malaise profond. " Ces deux phrases me gênent. Surtout Olwenn qui ne sait même plus qu'il avait une soeur et tout à coup c'est douloureux de la citer... Je me suis dit "cette soeur, elle est morte bébé, genre mort subite", pour développer ça comme ça, tout en pouvant être zappée de leur vie... Je ne pouvais croire à leurs émotions. La surcharge, sans développement des persos (ils en sont au même point et niveau comportements, rien de neuf, en effet, c'est un passage "je dois glisser cette info" surtout), me fait moins apprécier ce passage que des précédents. J'attends de voir se dessiner ta subtilité sincère future, au fur et à mesure. :)

Merci beaucoup pour ton commentaire :D Je suis contente que ce chapitre t'ait émue ^-^!