Le roi a l'air détaché, il ne se souci pas de sa position de prisonnier, il lit boit du vin plaisante ... C'est étrange ! On apprend rien rien sur ses émotions ou sentiments... On dirait qu'il porte un masque, il est super intrigant.

J'aime beaucoup la manière dont tu dépeins François Ier presque en enfant gâté, qui est nonchalant et ne semble pas réaliser à quel point il est en danger, et ça tranche et révèle d'autant mieux les femmes fortes, puissantes et/ou guerrière que tu nous as présenté les chapitres précédents, et on sent que les interactions à venir vont être intéressantes.

J'adore cette relation inattendue entre le roi et les gardes qui le surveillent. Cela ajoute encore une note d'ironie pour sortir de la notion classique du prisonnier qui attend son triste sort. L'arrivée du perroquet Aztèque n'en est que plus surprenante encore. J'ai d'ailleurs hâte de découvrir ce personnage et de faire un lien avec la créature étrange du prologue...

Mais c'est entièrement de ta faute puisque tu nous allèchent avec un homme-jaguar dès le premier chapitre ! 😅 Je me doute bien que tu vas nous faire languir au maximum pour nous enchaîner à ton histoire et c'est tant mieux.