Jean-Marc-Nicolas.G Le reclusoir d’Élisabeth de Beaupond. (La pénitente.) Les enfants perdus.

Les enfants perdus.

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6 commentaires

Sand Canavaggia

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Il y a 4 ans

Elisabeth revient pour la protection de ceux fragiles qui ont peur suivant un contexte elle les sent, il y a son côté protecteur démuni de l'époque de la tuerie sanglante des siens qui émerge et elle garde cette grâce qui me plait tant quand je te lis et ce matin ma vue se bute sur ta dernière phrase, cette femme qui pleure, il n'y a pas de situations où la peine n'est pas enfoui dans une grande solitude qui nous isole et que c'est bien dit cette peur des autres d'être contaminés, c'est d'une justesse qui me trouble vraiment beaucoup. Merci de ce partage où dans toutes les situations j'ai une boule qui se forme au creux de mon ventre tant cela me renvoie des images poignantes. Bonne suite de ton écrit et prend ton temps l'impatience de nous, tes lecteurs, ce sont nos caprices du plaisir de te lire, ta place sur l'échiquier n'a aucune importance sur ce site tu as du platine en barre dans ton texte, ne l'oublie pas, les petites corrections lors du terme de ton écrit te permettront sans aucuns doutes de l'éditer, et je te demande de ne pas hésiter à venir vers moi, je t'aiderai de mon mieux en ce sens si tu n'as pas déjà enflammé un éditeur (cela aussi je n'ai pas de doute si les éditeurs concernés par ton monde te lisent).

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Oh ! Que c'est gentil tout plein. Tu sais, il y a bien longtemps que je ne fais plus ce genre de rêve,j’écris parce que j'aime ça, je lis aussi , beaucoup, écrire et lire m'aident à m’éloigner de ma vie et à voyager. Non pas que ma vie soit triste ou malheureuse, bien sur que non, mais à bien y réfléchir, ce doit être moi qui dans le fond suis triste et tourmenter. Ne me demande pas pourquoi, je n'en sais fichtrement rien.Et puis j'ai toujours aimé les voyages,les vrais, et puis ceux de l'esprit. Je dois être sans doute bien souvent dans la lune, perdu dans mes pensées. On me le fait encore remarqué, amusé ou agacé.Alors j'écris comme l'on déguste un plat raffiné ou un plat tout court. Tiens en ce moment, je pense à une blanquette de veau, là aussi ne me demande pas pourquoi,je n'en sais rien. Mais dans mon esprit, je détaille chaque petit morceau de viande qui aurait mijoté patiemment pour me rendre sa tendresse et puis ses petits champignons de Paris coupés en lamelles et ses carottes finement coupées et ce gout mélangé de vin blanc et de crème fraîche patiemment mijoté et rendant un fumé incomparable! Ou une daube mijotée depuis la veille au soir mais avec des morilles, le gout est incomparable. Hihihi je suis gourmand, mais fort heureusement je ne suis encore pas trop mal pour mon age. Oui et bien pour mes histoires c'est la même chose, je me les prépare patiemment dans mon esprit puis je prend des notes, ça mijote parfois des mois parfois juste une journée, puis ensuite c'est la préparation , lorsque j'écris, puis s'est la dégustation ,là, c'est lorsque je lis. Bon et puis il y a malgré tout des fautes de syntaxe, des erreurs d'accord, alors si ça devait être éditer ,il y aurait du travail derrière. Tout comme "les Anachorètes" dont l'histoire est différente de ce que j'ai laissé sur Fyctia, j'y ais ajouter de nombreux chapitres que j'ai ensuite envoyé ce qui explique mon retard dans la le concours des Sorcières et lorsque je me relis je m’aperçois que j'aurai du ajouter ceci ou cela. Avec moi c'est jamais fini. En vérité les Anachorètes devraient compter le double en écrit, j'ai beaucoup résumé, tronçonné si je puis dire. Notamment lorsque Pierre et Mylène sont dans le palais des Émissaires. Là dedans c'est un véritable dédale, ils ne peuvent pas en sortir si vite mais le temps qui court et nous oblige à rendre les copies à l'instant "T".

HaliBerrah

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Il y a 4 ans

Je rentre d'une soirée sympa avec mes photos et que vois je ??? Tu vois pas ! Moi si la suite de mon histoire de rêve, alors j'ai repris le coussin plume qui m'a emportée au réveil ce matin et je rejoins Elizabeth sous le pont je guette...que c'est bon...un couple d'amoureux qui n'aurait rien vu et la mort qui a finalement un respect depuis qu'elle et son père se sont retrouvés.Et tu attaques l'autre partie de sa vie et de ma lecture...Tiens tiens mon imagination prend un coup de fouet et je ne suis pas sûre de roupiller...je vais reprendre un bouquin de 600 pages dont je t'ai parlé car à moins d'avoir un camion d'oreillers plumes le somnifère de ma fatigue ne peut plus marcher et tout ça à cause de toi. Combien de temps pour la suite, car le temps court peut-être,même dans les coms qu'on te laisse mais franchement il court pas assez vite😂🤣😂🤣😂

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Alors toi, quelle énergie! Tu me fais rire de bon matin, tu me fait rire le soir,que dis je, le petit matin, je vais allé me coucher. Veille demain de ne pas éternuer des plumes d'oie . J’écris aussi vite que je le peux et peut etre pour te faire plaisir, mais l'ennuis c'est la rapidité des votes de nos partenaires.

chocotean

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Il y a 4 ans

Entre poésie, noirceur, suspense, mon coeur ne sait plus trop où il doit se trouver. Les chapitres se suivent mais ton style demeure, percute, fait mal. On est accroché à chaque ligne, on attend, on en prend plein la figure. C'est un merveilleux voyage dans lequel tu nous entraines. Chaque chapitre est un kaléidoscope de temps et de vies, on en redemande on t'en supplie... Mon dimanche fut beau parce qu'il a commencé avec une histoire et que ce soir elle continue. Merci Cher Jmng pour tous ces mots.

Jean-Marc-Nicolas.G

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Il y a 4 ans

Sans doute y a t'il des personnes faites pour écrire, mais il y a aussi des personnes faites pour être "imprésario" ou "agent" ou encore "journalistes critiques" connaissant bien le sujet. Je les appelle les magiciens des mots ils ont le feu sacré. Pour reprendre les mots de quelqu'un que j'ai beaucoup aimé et que j'admire toujours autant aujourd'hui. "Ce sont les grands Ducs de la réplique ,ceux qui jonglent avec les mots et qui placent bien les phrases pour toucher dans le Mille en plein cœur, ces gens là tutoient les Anges" tu fais partie de cette classe là. (Le monsieur s'appelle Michel Audiard,je l'ai adapté pour toi) La réplique est dans le film de Henri Verneuil ,les dialogues de Audiard avec Jean Gabin ,il s'intitule "Un singe en hiver" Mais çà te va bien. Bonne nuit Chocotean, ne rêve pas trop d'Elisabeth de peur de la voir te visiter . Etre obligée de recouvrir tous tes miroirs serait inconfortable.