En fait, Zak a quand même des principes dans sa noirceur. On ne touche pas aux femmes et aux enfants... C'est plutôt positif pour Orlane et Luc, ça, non ? Je ne sais pas, je me dis que oui en tout cas. En plus, c'est Orlane, celle qu'il cherche encore et dont le départ a laissé de nombreuses traces, si l'on se remémore ses nuits blanches dues à ses démons décrites puis tôt... et puis, ses sbires semblent aussi connaître ces valeurs qu'il défend et savoir qu'il tient ses promesses puisque, même ce gars qui sait qu'il va mourir de sa main (ou celle de son second) lui demande cette faveur... bref, un chapitre où l'on découvre encore un peu plus la noirceur de Zak, mais avec ce fond de lueur d'espoir et d'humanité en lui. Encore cette double facette de son être dont je parlais plus tôt. Il est chef, il assume en apparence mais n'en ressent aucune satisfaction et qui le degoute memee en fait (voir la partie où il dit regarder tout et n'importe quoi pour fuir la vue de sa victime). Il fait son taf, en gros, le seul qu'il sait faire... (voir la partie où il évoque les choses qu'il sait deja faire à 13 ans).