Ha ha, j’ai tout faux sur la livraison (heureusement, remarque !). Il s’agissait donc de gagner un nouveau public (et de vendre plus), tout cela est bêtement économique, c’est presque décevant de la part de Ken (surtout avec un nom comme ça) 😊 Mais bon, maintenant que Laurie a en tête de trouver la faille de Monsieur Ken, la suite risque d’être palpitante !! Les quelques fautes que j’ai notées : « Ils faut » => « Il faut » « Ira-t-il » => « Y aura-t-il » « qui m’a outré » => « qui m’a outrée » « j’en serai plus » => « j’en saurai plus » « je suis lessivé » => « je suis lessivée » (c’est le problème de passer de Laurie à Edouard, on ne sait plus quand accorder 😉 ) « retourné » => « retournée »

Oui c'est ça de passer de l'un à l'autre je m'embrouille 😅

Donc madame Barbie n'a pas hérité de la fierté familiale, seulement d'un besoin de s'enrichir. Or, si je me fie au prologue, Édouard a eu un père qui savait travailler le bois. Il serait donc apte à perpétuer la tradition de Joujous Leroy, du moins pas mal plus que la fille de la famille qui préfère faire entrer des jouets "commerciaux" à la qualité douteuse plutôt que de poursuivre la tradition. J'aime bien cet élément qui vient bonifier ton histoire et y donner son unicité. Bravo !

Merci 😉

Elle commence à s'intéresser de plus en plus à son travail, elle est de moins en moins dans l'idée d'avoir trouvé un boulot alimentaire.

😉 merci à toi aussi