Il y a beaucoup d’incohérences dans ce chapitre, du moins si on le met en perspective avec les deux premiers. D’abord, mais c’est un détail, le vouvoiement me semble bizarre. En théorie, ils se parlent en latin pas en français, et Rome est une République, les citoyens se tutoient. Certes, elle est gauloise, mais c’est la fille de Vercingétorix. Une femme forte qui tient tête à César et Vercingétorix était lui-même un aristocrate celte, ce serait plus logique qu’elle le tutoie. Sur la cohérence globale : César semble être son ennemi et là d’un coup il est son allié ? C’est absurde. Si quelqu’un devait la soutenir, ce devrait être Octave. Le mystère autour de la mort de son père arrive aussi comme un cheveu sur la soupe. On a l’impression dans les 2 premiers chapitres qu’elle sait comment il est mort et là elle ne connaitrait pas les détails ?