Voilà ton texte avec deux chapitres de plus et je suis contente de rentrer dans ce monde, tu poses encore le fond et départ de ton écrit, disparition, éducation, Miran se trouve propulser rapidement dans cet espace et ce père qu'elle doit reconnaître comme tel par la situation reste assez maître de lui malgré la disparition de sa fille, cela paraît étonnant mais je peux le mettre sur le fait de sa position d'aristocrate où les obligations passent devant la sensibilité...Je poursuis...

Salut, Sur la forme, on t'a déjà signalé quelques répétitions et coquilles qui se rattrapent à la correction, donc je n'y revient pas. Deux questions : - je sais que dans ses hautes familles priment l'honneur avant tout, mais j'aurais aimé lire plus de sentiments sur la réaction du père qui vient de perdre sa fille. Il aurait fallut une transition moins rapide entre l'annonce et son choix de la prendre comme fille adoptive. - cette ressemblance, même si tu y as déjà fait allusion, devrait la questionner aussi depuis longtemps. Il manque là aussi des éléments afin quelle soit sur un cheminement personnel de cette réflexion. Ce ne sont que des ressentis, mais il est vrai que je suis pointilleuse'' Poursuis ainsi, je viendrais pour la suite. A l'Encre de mon Sang.

La pauvre, c'est une grosse responsabilité. Je me demande comment elle va faire face à tout ça.