Ouf ! Tout est bien qui finit bien (sauf si le mannequin est chiné par une prochaine victime et si, par un tour de passe-passe de physique quantique et de lumière stroboscopique, l'ombre maléfique passe à une autre femme). Outre les petites fautes ;-), on retrouve bien ta signature dans ce récit perturbant, qui se présentait sous un jour pourtant bien innocent. J'espère que tu nous réserves d'autres bonus à paraître très prochainement.

C'est vrai qu'on pourrait imaginer un récit à tiroir avec de multiples rebondissements en cascade. Je me dis souvent que je ne suis pas assez persévérant et que je devrais plus investir une trame de scénario qui le mériterait. Malheureusement, je me lasse vite et je suis adepte du zapping, une idée chassant l'autre. C'est pourquoi j'aime particulièrement l'exercice de la roue d'écriture. Merci en tout cas d'être aussi indulgente avec mes fautes. A chaque fois, je me dis qu'il faut que je sois sans faille pour Anne-Charlotte et je finis toujours par laisser une énormité !

"Malheureusement, je me lasse vite et je suis adepte du zapping, une idée chassant l'autre. C'est pourquoi j'aime particulièrement l'exercice de la roue d'écriture" : le crocodile a-t-il du souci à se faire ;-) ? Curieuse de voir ce que tu nous concoctes d'ici demain soir pour la Roue.

Comptais marche aussi.

Que vient faire ce "que" dans ta phrase ? A moins que ce ne sot une tournure typiquement belge ;-)

C'est vrai ça ! Bizarre mais effectivement peut-être une réminiscence du plat pays ;-)

prise ;-) en même temps, comme il y a emprise pas loin, peut-être "comment tu me tenais sous ton emprise" ?