La description de Marie-Saphyr fait froid dans le dos. On dirait un cadavre ambulant si je m'en réfère à la description qui en est faite. Je suppose, comme tu en parles, qu'en plus de se droguer, elle est anorexique, à la recherche du fameux rôle en or qu'elle attend depuis toujours. Par contre, il y a une expression que j'ai trouvée sublime, c'est "combien de pions ne se sont pas un jour cru reine ?". Belle image, et malheureusement tellement vraie. En revanche, elle me fatigue grave cette Marie-Saphyr avec ses airs supérieurs envers les autres et le fait qu'elle prenne un malin plaisir à commander les autres. Message au tueur du Tarentellia : tu peux t'en prendre à elle, cela ne me dérange pas 😉

Ah j'ai cru qu'il était mort... suis bête !

merci beaucoup ! :D quand j'aurais le temps (je suis sur deux concours) je prendrais le temps de passer sur ton récit et de laisser des commentaires ;)

Le pouvoir des mots nous envoûtent... tout comme l’atmosphère et ces personnages inquiétants. Cette impression de glisser dans le décor au milieu des ombres est particulièrement saisissante.

Toujours une belle plume.

Comme toujours tes phrases sont bien choisies et on se laisse porter tranquillement là où tu veux nous emmener. J'aime bcp tes dialogues qui n'en font pas des tonnes et vont droit au but. Petit chapitre très relaxant malgré la tension entre les personnages. Allez la suite maintenant ^^

J’aime ben l’ambiance et le rythme de ce chapitre-ci