C’est la vie qui pèse
C’est la vie qui pèse
Disait l’orbe obèse
A une granule
Hors de sa canule
Elle lui gratina
Une bière de poix
L’autre fut si trouillée
Qu’elle s’mit à fixer
L’orbe en baisouillit
Tous les prix-chanlits
La granule de peur
Hurgat sur la meur
Mais les manilliers
En firent une maniée
Et l’orbe fut jalue
De malvoir pallue ! .... un beau poème qui m’a émue aux larmes sans compter l’extrait également. Je suis sincèrement touchée. Ce que l’écriture peut autant faire sourire que pleurer.. Merci 🙏🏿
Véronique Rivat
-
Il y a 4 ans
Je me délecte !
Michbonj
-
Il y a 4 ans
Je vous aime les filles, toutes sans exceptions, même les pétasses. Un de mes frères, décédé d’une crise cardiaque, étonnait, surnommé « Au bonheur des Dames » j’ai retrouvé des dizaines de femmes, 30 ans après dans mon bled d’origine, qui me disaient: « on demandait à François, rien de mauvais ne pouvait nous arriver. Dans un bal de campagne, il y avait parfois une dizaine de filles qui s’amusaient sans craindre une emmerde, François était là et les copains du rugby. Pas de voyage avec des mecs bourrés, pas filles abusées. On avait 3 soeurs, On apprenait les unes des autres. Je suis d’une famille de cinglés et c’est bon.
Lyaminh
-
Il y a 4 ans
Aimer jusqu'à la folie, une folie qui s'exprime dans un enchevêtrement de mots, le virus de l'amour qui bouffe complètement la raison... je sens le clash fatal arriver... Tonnerre de feu, Michel, comment tu écris ? Tu es le barde du traitement du texte 👍 je savoure 🤗
6 commentaires
Mary Cerize
-
Il y a 4 ans
Véronique Rivat
-
Il y a 4 ans
Michbonj
-
Il y a 4 ans
Lyaminh
-
Il y a 4 ans
Sissy Batzy
-
Il y a 4 ans