T_linda La Secrétaire Du Milliardaire ☏ 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟔 (2/2)

☏ 𝐂𝐇𝐀𝐏𝐈𝐓𝐑𝐄 𝟏𝟔 (2/2)


𝐋𝐢𝐯𝐢𝐚




Le lendemain, je me livre à la même routine quotidienne, prenant une douche revigorante et enfilant mon magnifique tailleur émeraude avec élégance. Ensuite, je prépare avec soin un délicieux petit-déjeuner. Juste après, je retourne dans la salle de bain pour brosser mes belles dents avec minutie, tout en effectuant une mise en beauté simple et rapide.




Ensuite, je quitte précipitamment mon domicile pour me rendre au travail en utilisant les transports en commun.




Au moment précis où je franchis la porte de sortie de l'immeuble où je vis, je vois Juan au loin, debout là-bas, les bras musclés croisés sur sa poitrine puissante, adossé à sa Bugatti, me scrutant de ses yeux couleur jade.




Il s'approche de moi avec une démarche rapide et élégante jusqu'à ce que nous soyons proches l'un de l'autre. D'une voix chaleureuse, il me demande :




- Bonjour, comment allez-vous, ma charmante secrétaire ?




- Bonjour, ah, on passe au vouvoiement maintenant ! Je vais mieux que toi... Enfin, mieux que vous en tout cas !




- Sympa, permettez-moi de vous accompagner au travail puisque c'est également sur mon chemin ?




- Juan, puis-je savoir ce que vous manigancez ?




- Je ne manigance rien du tout, belle Livia. Je veux juste vous emmener simplement avec moi, c'est tout !




Certaine de mon refus catégorique de son aide, je lui murmure d'une voix sans émotion.




- C'est trop clinquant pour moi, je suis désolée de décliner votre proposition. Je devrais plutôt appeler un chauffeur de taxi.




À peine avais-je fini ma phrase que Juan me tire par le bras jusqu'à sa Bugatti Centodieci, dont la carrosserie d'un blanc éclatant semblait briller comme du musc sous les rayons du soleil. Il avait acquis ce petit bijou lors de l'inauguration d'un prestigieux salon automobile à Barcelone quelques semaines plus tôt.




Il continue à me tirer brusquement le bras, presque en se précipitant vers sa voiture garée sur la chaussée, m'emportant avec lui sans la moindre gêne. Sans prévenir, il déverrouille la portière du véhicule tout en me lançant d'une voix dure et exigeante.




- Je n'ai pas le temps d'écouter vos lamentations futiles, il y a plus urgent à régler. Un client VIP nous attend dans un hôtel réputé à Castellón. Allez, montez ! Vous me faites perdre un temps précieux !




- Il n'est pas nécessaire de me crier dessus, marmonné-je, irritée par son ton méprisant.




De manière expéditive, il s'installe rapidement du côté conducteur et démarre sa précieuse Bugatti.








Il continue son chemin pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'un grand bâtiment blanc, dont l'architecture a été modernisée, devienne visible. On peut alors voir une grande piscine extérieure d'un bleu turquoise, entourée de transats de couleur beige soigneusement disposés tout autour.




Autour du bâtiment, les arbres se dressent fièrement, ajoutant une dimension naturelle à la contemplation de ce magnifique panorama. Il conduit la voiture jusqu'au parking de l'établissement. Une fois garée, il sort de sa Bugatti en s'engouffrant à l'intérieur, suivi de moi qui accélère le rythme de mes pas.




Arrivée à la réception, il sollicite l'hôtesse d'accueil concernant l'emplacement du restaurant de l'établissement hôtelier. Lui et moi, nous arpentons un long couloir luxueux jusqu'à ce que nous rentrons dans le restaurant. Mon patron arrête un serveur en lui demandant où se trouve le client important. Ce dernier lui indique d'un geste de tête que ladite personne est assise en face de lui, à sa droite.




Le client se lève et nous salue individuellement avant de retourner s'asseoir. À notre tour, nous prenons place autour de la table. S'ensuivent alors de longues heures de débat entre les deux hommes aux personnalités dominantes, pendant que je prends des notes dans un modeste carnet.




Je retranscris soigneusement toutes les données essentielles afin de rédiger mon rapport pour mon supérieur hiérarchique. Ensuite, nous commandons des cafés selon nos préférences.




Après un court moment, ils parviennent à un accord en finissant leurs boissons chaudes avant de se séparer de manière amicale.




Mon patron et moi retournons au parking en nous installant rapidement dans sa voiture de luxe. Il emprunte une route qui m'est inconnue, je tourne la tête vers lui et je vois un sourire se dessiner sur ses lèvres.




Il me dit d'une voix chaleureuse :




- Maintenant, je t'emmène vers un endroit très spécial, ma douce secrétaire.


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3 commentaires

Diane Of Seas

-

Il y a un an

💚

Emeline Guezel

-

Il y a un an

À jour 🥰

François Lamour

-

Il y a un an

Like du "Connard romantique" 😁
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