Merci !^^

- Je reviens sur le sujet comme dans le chapitre précédent. Tu as un manoir, un cimetière à une vingtaine de minute à pieds relié par une route de campagne que l'on imagine déserte et entourée d'une forêt (même si ce n'est pas dit) et pourtant New-York est à trois kilomètres. Là, il y a un truc à revoir ;) - Dernier point. Il me semblait que la maison était construite sur un ancien cimetière ou vraiment accolé à lui. Si c'est le cas, ça fait un immense cimetière :(

Je prends note ! ^^

- Le début est très bien construit. Toutefois, il manque (ce n'ai pas une obligation),la sensation du temps écoulé entre le dernier cri et l'apparition de la lumière. - Car, donc... c'est bien quand tu rédiges une dissertation, mais c'est plus chiant quand c'est dans une histoire. Ces mots servent à expliquer et démontrer. Si tu les utilises, ça peut vouloir dire que ce que tu viens de raconter n'est pas clair et que tu t'imposes une démonstration. Je caricature, mais c'est volontaire. - "J'étais allongée". Rien n'indique que tu étais en mouvement. Tu te réveilles en sursaut. Pour le lecteur, tu es encore allongée. Mets ta phrase au présent pour écarter le doute :) - Elle ne tâte pas la terre, elle l'a malaxe plutôt. - trébuchant, glissant, guetttant... c'est très moche, ça ne donne pas vie à l'action. - Pour quelqu'un qui vient d'avoir la frousse de sa vie, elle arrive à faire le parallèle avec le souvenir d'un ballon tombé dans une rivière :) Pour le coup, tu détailles trop ce passage :) Tu dois faire ressortir l'angoisse et la peur plus que le souvenir ou la nostalgie. D'autant plus que tu imagines une fin merveilleuse pour le ballon. C'est en totale contradiction avec l'émotion que tu veux faire passer.

Haha ! C'est à découvrir par la suite ! ;)

J'aime beaucoup ce premier chapitre :) je me demande ce qu'elle faisait dans un cimetière, et le début est plus qu'intriguant ! Que lui est-il arrivé ?