Elle est sensible et romantique la Calista. Mais, après une telle première rencontre, c'est un peu normal de rêver au grand amour comme une midinette. En tout cas je ne peux que leur souhaiter le meilleur à Elliot comme à elle. Ils sont français, surtout elle, mais se sont tellement bien intégrés dans leur lieu de vie qu'on les prendrait tous les deux pour de purs écossais.

Toujours très agréable à lire, en pleine immersion à Édimbourg. C'est une jolie première rencontre qui se clôture.

Je m'interroge sur la langue qu'ils parlent, une fois qu'ils ont pris conscience de leur point commun. Est-ce qu'ils restent sur l'anglais ou passent au français ? Ca mériterait peut-être une phrase. De même, vu qu'il n'est pas tout à fait habitué au froid, comme précisé quand il renfile sa veste, ça vaudrait peut-être le coup de préciser s'il a vécu en France ?

Je me laisse emporter par les échanges entre tes deux personnages, ça se déguste comme un bonbon un peu piquant. ;-)