A Jean-Pierre Didry. La publication de mes chapitres piétine faute de likes, de lecteurs, et donc de réseaux sociaux.

c'est avec plaisir que je reviens à la lecture . C'est fluide et prenant. je trouve les personnages bien inscrits dans le récit qui ne manque pas d'accroche. il n'y a pas d'ennui et l'on se sont pris dans l'intrigue. A bientôt de suivre

J’attends avec impatience la suite.

A Michel Delarche. Il est vrai que le soulèvement en Algérie est intervenu en 1954 aux environs d'Aris dans les Aurés mais je pense qu'il est habituel de qualifier 'd'événements" la période de 1954 à 1962. Merci pour votre lecture attentive de " La maison dévastée". Je vous rassure; l'écriture de pagaille ne me pose pas de probléme orthographique; il s'agit d'une erreur de frappe en traitement de texte! Bien à vous.

correction: "pagaie" -> "pagaille" (ou "pagaïe" à la rigueur) Pas besoin d'écrire deux fois les dernières protestations de Frontin. NB/" les événements en Algérie" si l'on est dans les années 60, je suppose que c'est une allusion au putsch des généraux (il faudrait préciser car le soulèvement du FLN commence en 54)

c est génial.. j attends la suite..bravo Bernard .

Merci à Mimi Nana et Lambert Roseline et les autres pour leurs aides à débloquer le chapitre 11. La premiére partie vient de se terminer sur l'exécution capitale d'un herbager accusé du meurtre d'un instituteur qu'il nie farouchement et de l'homicide d'un gendarme sur un coup de folie. Les chapitres à venir mettent en exergue des rancoeurs, des rancunes, de la haine et paradoxalement du remords au cours de la contre -enquête diligentée par le fils du meurtrier pour démasquer le vrai coupable et réhabiliter son pére. Le roman comporte 39 chapitres tous ecrits. Si l'envie vous tente...