Michbonj La maison d'Aurore Voilà, c’est fini…

Voilà, c’est fini…

Voilà, c'est fini

On a tant ressassé les mêmes théories

On a tellement tiré chacun de notre côté

Que voilà c'est fini

Trouve un autre rocher petite huître perlée

Ne laisse pas trop couler de temps sous ton p'tit nez

Car c'est fini, c'est fini

Voilà, c'est fini

On va pas s'dire au revoir comme sur le quai d'une gare

J'te dis seulement bonjours et fais gaffe à l'amour

Voilà, c'est fini

Aujourd'hui ou demain c'est l'moment ou jamais

Peut-être après-demain je te retrouverai

Mais c'est fini, hum, c'est fini

Jean-Louis Aubert


Depuis quelques jours je me dis que je ne peux pas finir une histoire comme ça, ce n’est pas une "storie", ça me fait penser à scorie. On écrit en français non ?

Certains vont se dire quelle histoire, quelle imagination ! Et je vous disais, affirmait que tout est vrai ? Certains diraient : "quel hâbleur ! Il se moque de nous, c’est impensable !" Pas plus que de croire à un des Dieux des religions monothéistes.

À la fin du Ier siècle, dans les Antiquités judaïques, Flavius Josèphe résume ainsi les Dix commandements.

Tous entendent une voix venue d'en haut, elle leur parvient à tous, de manière qu'ils ne perdent aucune de ces dix paroles que Moïse a laissées écrites sur les deux tables. Ces paroles, il ne nous est plus permis de les dire explicitement, en toutes lettres, mais nous en indiquerons le sens.

La transmission du Coran

Première phase : Aussitôt après la révélation, devant le Prophète, en présence de l’Ange Gabriel, éparpillé sur différents supports.

Aussitôt que le Prophète recevait une révélation, il faisait appel à l’un ou plusieurs de ses scribes pour la mettre à l’écrit.

Les compagnons exposaient au Prophète ce qu’ils avaient écrit, et celui-ci les rectifiait en cas d’erreur. Le prophète ne savait ni lire ni écrire comme les bardes avant le Ve siècle.

Je dis que non seulement tout est vrai dans mon histoire, mais qu’en plus ce n’est ni dans l’intention de créer une secte, une religion, d’avoir des disciples mais c’est exactement tout le contraire.

Ce que je veux, c’est demander au lecteur de réfléchir au Vivant. De regarder au fond de lui de quelle manière il vit avec les "autres" autres gens, autres espèces, la nature, la mer, la terre, les plantes tout ce qui est en relation étroite avec nous, la vie qui nous compose et dans laquelle on baigne.

Le vivant est en nous, au cœur de nos lymphes et de nos ventres macrobiotes.

Une étude en 2016 évalue le microbiome (constitué essentiellement du microbiote intestinal humain) à environ 39 000 milliards de bactéries et celui des cellules du corps humain moyen à environ 30 000 milliards, Chaque humain abriterait 200 à 250 espèces différentes de bactéries.

Le microbiote est un organe intelligent. Mais lorsque son équilibre est altéré, des troubles, tels que le diabète, l’obésité ou encore des maladies inflammatoires peuvent apparaitre, ainsi que des affections de type neurologique. Pourquoi ? Tout simplement parce que notre ventre contenant près de 200 millions de neurones pour régir notre système digestif communique avec notre cerveau.

Notre 2e cerveau, selon sa nature et sa diversité, peut donc interagir sur certains aspects de notre comportement, comme l’anxiété, le stress, voire la dépression.


En raison de la taille microscopique des organismes qui la composent, la microflore humaine est invisible à nos yeux. La peau d'un adulte héberge en moyenne 1012 (mille milliards) bactéries (soit 500 mille par cm2 de peau), de plus de 500 espèces différentes. La peau supporte et entretient naturellement son propre « micro-écosystème ». Celui-ci se forme à la naissance, puis évolue jusqu'à la mort.

Tous ces systèmes sont en nous comme ascendances animales qui grondent et se font jour dans une myriade d’actes cognitifs et de perceptions filantes, en nous encore en tant que le vivant est notre commun miracle et notre commune expérience, quoi d’étrange à ce qu’il y crépite en intercept de la pensée.

« Énigme parmi les énigmes, la manière humaine d’être vivant ne prend sens que si elle est tissée aux milliers d’autres manières d’être vivant que les animaux, végétaux, bactéries, écosystèmes, revendiquent autour de nous. »

Alain Damasio.

Pourquoi, me diriez-vous, devrait-on des égards au monde vivant ? Mais parce que c’est lui qui a fait nos corps et nos esprits, capables d’émotions, de joie, de sens. C’est le monde vivant qui a sculpté toutes nos facultés jusqu’aux plus émancipatrices, dans un tissage constitutif avec les autres formes de vie. C’est lui qui nous maintient debout face à la mort par une perfusion continue et joyeuse de vie, c’est respirer. Débrancher ce lien à lui et tout est fini.

J’ai fait ce concours en toute honnêteté, en respectant le thème. Au fur et à mesure, des choses m’ont troublées. Plus de 100 personnes ont appréciés mes 1ers chapitres et je n’ai toujours que 2 étoiles depuis le début et je ne suis pas le seul. On n’a pas le droit de dire à quelqu’un que l’on lit, suit, like et partage, depuis 10 chapitres au moins, "hé camarade, pense à moi, viens me lire" pas bien, on se fait remonter les bretelles, trop direct, pas assez hypocrite. Il vaut mieux aller systématiquement faire des tas de commentaires élogieux même à des textes ineptes, à l’orthographe approximative, se poser en critiques spécialistes, ça paye mieux.

En revanche j’ai proposé à 3 candidats faibles en orthographe de corriger sur mon Word leur texte dans la journée avant de le publier. Puis, j’ai décidé de lire et liker tous les concurrents, et surtout d’appeler au déblocage sur la fameuse "liste d’entraide" les potaches qui la gèrent m’ont exclu, sans doute par erreur, à cause de commentaires "bêtes et méchants", je suis un vieux croûton génération Hara Kiri.

J’ai dû m’égarer, il y a combien d’hommes dans les 200 et quelques participants ? Combien de papy de 73 ans ? Combien de gens qui n’ont jamais écrit ou lu du new-roman qui semble être le courant dominant ici ?

J’ai publié 2 livres à compte d’éditeur, le 1er, « Hépatite C, le roman d’un malade » livre qui explique la maladie et comment la combattre chaque jour. Le 2eme, un roman sulfureux : « Satan à 5 contre1 dans la 1ère » mal diffusé malgré les promesses de l’éditeur. C’était entre Bukovsky et John Fante.

Une chose est certaine, je ne regrette pas d’avoir fait ce concours, j’ai rencontré des gens super, certains sont devenus des amis.

Et ma conviction est que l’on ne vit que d’expériences.

Paroles d’un sage que j’ai eu la chance de rencontrer 3 fois.




« La Terre est un jardin bordé de nuit. Tels des aveugles nous avançons, mais sûrs de nous, fiers, cruels, consommateurs, assoiffés de de profit. Modernes ? que restera-t-il à nos enfants de cette oasis si humaine ? Seront-ils seulement là pour contempler nos méfaits ? Verront-ils, comme nous, les fleurs, le désert, le ciel aux mille étoiles, la vie menacée, la guerre ? »

Théodore Monod : Révérence à la vie.







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8 commentaires

Michbonj

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Il y a 4 ans

C’était dans le concours, pas dans le livre final. Je dynamite un peu cet esprit de compétition. C’est une ambiance de merde.

AUFORT Evelyne

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Il y a 4 ans

Coucou Mimi je trouve bizarre que dans un roman, dans ton bouquin quoi, tu règles « des comptes » avec les autres écrivains ? Pas compris ce que ça faisaitlà

AUFORT Evelyne

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Il y a 4 ans

Je parle du chapitre de fin

bernarf

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Il y a 4 ans

J’ai bien aimé!

Pénellope Van Haver

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Il y a 4 ans

Bonne route pour la suite 😉👍

Michbonj

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Il y a 4 ans

De même pour toi Pénéllope, ne défait pas trop ton travail la nuit, je te suis depuis le début et j’aime bien.

Lyaminh

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Il y a 4 ans

J'ai la sensation d'avoir déjà lu ce chapitre... et je vais reprendre une de tes formules que je trouve fort jolie ; c'est un petit baiser posé sur l'âme ;-) Barde Michel, bonne chance pour la suite, bonne continuation, enfin bref, tout ce qui peut être bon, prends-le !

Michbonj

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Il y a 4 ans

Oui, Fyctia l’avait retiré â cause d’un mot qui avait conduit une personne, sans doute malheureuse, à me harceler, me poursuivant de sa vindicte. C’est fait j’ai mis « potache » à la place, j’ai perdu tous les likes, c’est dur la censure.
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