Se tenir à certaines choses pour son enfant je connais je n ai jamais refait ma vie en partie parce que je ne voulais pas qu un homme puisse apporter son lot de malheur à ma fille et je n ai vecu qu autour en m oubliant...un peu de trop je me disais que ceque je faisais c etait pour le bonheur de ma fille je comprends la maman de Veronique désemaprée et prête à tout pour sa fille mais elle n a pas fait le bon choix mieux vaut vivre pour soi et pas à travers l autre... si onest bien notre enfant devrait être bien

je ne peux qu'etre de'accord c'est un choix que vous n'avez pas fait

Quelle triste chapitre. On comprends que « l’autre » le Beau-père par dépit n’a apporté que souffrance aux deux femmes. La mère de Véronique qui subit tout pour le bonheur de Sa fille et qui a la finale le résultat s’avère être l’inverse. Véronique a eu une enfance triste mélangeant violence et tristesse. Cet autre qui était bon et gentil au départ et qui chavire dans le spleen à cause de la pression à son travail. Quoi de plus facile que de s’en prendre aux autres plutôt que d’affronter les problématiques en face. On comprend mieux le titre « l’autre » l’obsession de vouloir donner une « père » à Véronique en oubliant au passage que le bonheur n’est pas individuel mais qu’il doit être partagé de tous - ce n’est pas du sens unique, ni un sentiment à sens unique.

je n'ai rien a ajouter

sa mere fait en fait un mauvais et elle supporte tout pour sa fille c'est uen erreur on ne peut pas vivre pour l'autre aime mais avec l'autre

Quelle tristesse ce chapitre. Véronique n a pas vécu une enfance joyeuse bien au contraire ! Sa mère qui avait voulu bien faire l avait en fait plonger dans l enfer ( on imagine la suite...) on pourrait se demander pourquoi elle n a pas quitté cet homme puisque qu il ne leur apportait rien ( ni Amour ni aisance financière....) mais je crois que parfois c est difficile pour ces femmes. Beaucoup de personnes ne les comprennent pas mais il le faut car chacun a ses faiblesses. Quand à l addiction c'est la triste réalité ! Encore un super chapitre

nous sommes d'accord l'addiction n'est pas source de violence elle revele simplement la violence qui existait deja

Dur désescalade que vivent la mère et la fille. Les drogues ne rendent pas courageux, et il est tellement plus confortable d'accuser les autres de son propre déclin. Je ne suis pas certaine que la dépendance mène systématiquement à la violence, mais qu'elle l'exacerbe quand elle déjà est en nous, oui ! Un réel traumatisme pour une enfant de 10 ans. Encore une fois le texte décrit bien le cauchemar, les mots sont justes et à leur place

un chemin douloureux en effet

Si triste ce passage.