Bruno en mode pilotage automatique rentre chez lui et n’oublie pas de jeter un œil au site de coureurs avant de s’endormir comme un bébé. Beau texte sur des aires de Jacques Brel, les toxs ne meurent pas ils s’enivrent un jour, s’enivrent toujours, leurs monde est bien trop petit. Plus de place pour les rêves pour les ambitions, traverser le présent en s’excusant déjà du futur. J’aime beaucoup ce chapitre qui résume et dessine très bien le tableau des toxs, le tout dans un écrins poétique
Doname
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Il y a 2 ans
merci pour ce complement
Doname
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Il y a 4 ans
merci pour la lecture
marie75
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Il y a 4 ans
Merci pour ce chapitre !
Doname
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Il y a 4 ans
merci pour le compliment
margot93
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Il y a 4 ans
Comme d'hab., super texte qui colle toujours aussi bien à la réalité.
J'aime tout particulièrement cette phrase : "Les toxs ne parlent pas ou alors seulement parfois du bout des yeux". Bruno satisfait de sa journée s'endort comme un bébé. (A quoi rêve les bébés ?)
cachou93
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Il y a 4 ans
beau poeme bruno est satisfait de cette rencontre
Doname
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Il y a 4 ans
cf'est pourtant le pas essentiel le seul debut du chemin
13 commentaires
SANDRA930
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Il y a 2 ans
Doname
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Il y a 2 ans
Doname
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Il y a 4 ans
marie75
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Il y a 4 ans
Doname
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Il y a 4 ans
margot93
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Il y a 4 ans
cachou93
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Il y a 4 ans
Doname
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Il y a 4 ans
Zabou66
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Il y a 4 ans
Arfeuillere
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Il y a 6 ans