Belle adaptation, chacun trouve son échappatoire, certains courent, peignent, jardinent d’autre lisent. Le plus important est de trouver son refuge et être accompagné, soutenu. La vie est un marathon il faut de l’endurance du mental pour tenir la cadence et franchir certains parcours d’obstacles. Les crampes, points de côtés etc… sont autant d’aléas comparables aux embûches que nous devons surmonter. Seul on peu allez vite, mais à plusieurs on peux allez plus loin

je ne peux que partager cette opinion

c'est le but

Le bonheur de courir ! J adore ce parcours de coureur ça me rappelle mon enfance mon adolescence... de bons souvenirs !

il a ete ecrit pour cela le monde n'est pas unicouleur

C'est peut-être bizarre de dire ça, mais ce chapitre est comme une petite respiration. Brel chante une douleur d'amour universelle, identique à celle des toxicos de tout bord...et ce retour sur les pas de son adolescence est quelque chose de vraiment troublant pour chacun. En bien ou en mal d'ailleurs...Et Bruno court...

tres bonne initiative

Belle description du vieux pays j'ai pas mal de souvenirs la bas j'en garderai un dans ma mémoire je ne l'oublierai jamais.les mauvais souvenir je les supprime de ma mémoire enfin j'essaie.

brel est un poete qui a sut toucher l'ame quant a la course c'est un plaisir personnel qu'il fait savoir cultiver

Belle adaptation et courir vers le stade belle promenade.